Les Cellules Souches Mésenchymateuses
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Comment les CSM sont-elles isolées et greffées?
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1. Pourquoi les cellules souches mésenchymateuses CSM ?
b. Des méthodes traditionnelles pour la réparation, comme les micro-fractures , l'abrasion arthroplastie, ont été développées pour combler les défects de cartilage, qui améliorent dans 70% des cas, et sur des défects de surface réduite, mais jusqu'ici aucune n'ont été capables de produire le cartilage hyalin normal, mais un fibro-cartilage, avec dégradation progressive dans le temps, car le fibro-cartilage généré est biomécaniquement inférieur au cartilage naturel hyalin, et n'ont pas produit de résultats cliniques satisfaisants à long terme.
c. Les techniques de restauration incluent la greffe ostéochondrale avec greffe prélevée sur cadavre, la greffe ostochondrale autologue, la transplantation de chondrocytes autologues. Ces techniques ont leur propre limitation empêchant un usage clinique large. Les allogreffes nécessitent une sélection des donneurs et un système de prélèvement efficace ; la greffe ostéochondrale autologue est indiquée pour les petits défects ne dépassant pas 1 cm2. Les techniques d'implantation de chondrocytes n’ont pas démontré leur supériorité sur les autres techniques de réparation de cartilage ; c’est une solution pour les lésions du cartilage de type traumatique ou ostéochondrite, mais non pour l’arthrose. De plus, deux procédures chirurgicales sont nécessaires, biopsie et transplantation, avec le risque de contamination bactérienne lors de la culture, une manipulation in vitro, avec possible contamination et transformation maligne en cas d'altérations génétiques de cellules cultivées..
d. Aucune méthode actuelle n’est satisfaisante pour la réparation de la lésion articulaire due à une blessure sportive ou à l’arthrose dégénérative. Par conséquent, il y a un besoin d'une meilleure technique de réparation causant moins de morbidité.
représente une approche plus sûre. La formation d’os ou de cartilage nouveau, voie naturelle des cellules souches stimulées sur une matrice osseuse, représente une approche idéale, les cellules souches seules étant quiescente, inactives. L’utilisation de CSM, cellules multipotentielles, est une partie importante d’ingéniérie tissulaire pour régénérer les défects ostéocartilagineux
b. Au contraire des autres techniques, la technique proposée est simple et peu coûteuse, basée sur la physiologie normale de la cellule souche mésenchymateuse.
2. L’origine des cellules souches mésenchymateuses
Elles proviennent soit de la moelle osseuse autologue aspirée (au niveau de la crête iliaque postérieure), soit du tissu graisseux obtenu par lipoaspiration de graisse au-dessus de la crête iliaque externe (les flancs). Les cellules souches du tissu graisseux sont en plus grand nombre (plus de 10 millions) que de la moelle osseuse (mille fois supérieur). Les cellules souches sont récupérées par centrifugation de moelle osseuse ou de tissu graisseux par un séparateur cellulaire en 15 minutes.
3. L’implantation des cellules souches se fait en UNE étape, sans culture
Dans la même salle de bloc opératoire, toutes les procédures se font en une seule étape : anesthésie locale ou générale, prélèvement de moelle osseuse ou de tissu graisseux, centrifugation, préparation des cellules souches avec des facteurs protéiques stimulant leur croissance, et du PRP, et mise en place des cellules souches sur une matrice biologique permettant leur transport et l’implantation directe sur la lésion arthrosique pour repousse de cartilage, après préparation arthroscopique des lésions arthrosiques.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire utilise les cellules souches en deux temps, avec prélèvement puis mise en culture, avec un risque de manipulation et de contamination bactérienne, et un risque d’altération génétique des cellules souches cultivées ; puis implantation.
4. Les cellules souches mésenchymateuses seules sont quiescentes, inactives : leur croissance doit être stimulée, pour une utilisation en une seule étape.
Elles doivent être incitées à se multiplier, pour coloniser le défect ostéochondral ou la lésion arthrosique avec perte d’os et de cartilage, et se transformer en os et/ou cartilage.
Les travaux du Professeur S.Slavin ont démontré que les cellules souches sont fortement stimulées dans leur multiplication en les mixant avec des protéines osseuses particulières, technique brevetée.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire se contente d’injecter dans l’articulation des cellules souches non activées, donc sans possibilité de cicatrisation des lésions arthrosiques.
5. Les cellules souches mésenchymateuses activées sont directement implantées contre la lésion arthrosique du genou sous arthroscopie, en utilisant une matrice de transport (ou scaffold) bio-résorbable à base d’hydroxyapatite et de collagène.
Dans certains cas d’arthrose du genou précoce (limitée), ou grave avec critères d’exclusion de transplantation de cellules souches, ou d’arthrose précoce de hanche, des injections intra-articulaires de forte concentration de cellules souches activées sont pratiquées, seules ou en association avec PRP.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire se contente d’injecter dans l’articulation des cellules souches non activées, et sans les transplanter contre la lésion, avec risque de destruction de la plupart des cellules souches dans le liquide synovial articulaire.
6. Le nombre des cellules souches
Le nombre de cellules souches joue un rôle critique dans le succès de la procédure. Le concentré obtenu après séparateur cellulaire de la moelle osseuse contient environ 100 000 cellules souches, et plus de 10 millions avec le tissu graisseux. La mise en culture permet d’obtenir jusqu’à mille fois le nombre de cellules souches, mais cette procédure en deux étapes a été supprimée, grâce à l’activation des cellules souches par une matrice protéique déminéralisée, mixée avec les cellules souches avant leur transplantation ou injection.
Il a été prouvé que cette activation stimule la croissance et la multiplication des cellules souches – isolées, elles sont inactives -, et vont permettre la croissance de cartilage et/ou d’os, et leur mise en culture est devenue inutile.
- Les maladies ostéo-musculaires sont le plus grand groupe des maladies chroniques et la plus grande cause d'invalidité de la population active. L’ostéoarthrose du genou est le problème le plus fréquent. Souvent, le développement dégénératif commence par une blessure au cartilage sur la surface portante du condyle, après un traumatisme, ou des lésions méniscales. Cela entraîne des dégénérescences dans le cartilage environnant, indicatif d'arthrose.
- Les Techniques Actuelles de Réparation du Cartilage :
b. Des méthodes traditionnelles pour la réparation, comme les micro-fractures , l'abrasion arthroplastie, ont été développées pour combler les défects de cartilage, qui améliorent dans 70% des cas, et sur des défects de surface réduite, mais jusqu'ici aucune n'ont été capables de produire le cartilage hyalin normal, mais un fibro-cartilage, avec dégradation progressive dans le temps, car le fibro-cartilage généré est biomécaniquement inférieur au cartilage naturel hyalin, et n'ont pas produit de résultats cliniques satisfaisants à long terme.
c. Les techniques de restauration incluent la greffe ostéochondrale avec greffe prélevée sur cadavre, la greffe ostochondrale autologue, la transplantation de chondrocytes autologues. Ces techniques ont leur propre limitation empêchant un usage clinique large. Les allogreffes nécessitent une sélection des donneurs et un système de prélèvement efficace ; la greffe ostéochondrale autologue est indiquée pour les petits défects ne dépassant pas 1 cm2. Les techniques d'implantation de chondrocytes n’ont pas démontré leur supériorité sur les autres techniques de réparation de cartilage ; c’est une solution pour les lésions du cartilage de type traumatique ou ostéochondrite, mais non pour l’arthrose. De plus, deux procédures chirurgicales sont nécessaires, biopsie et transplantation, avec le risque de contamination bactérienne lors de la culture, une manipulation in vitro, avec possible contamination et transformation maligne en cas d'altérations génétiques de cellules cultivées..
d. Aucune méthode actuelle n’est satisfaisante pour la réparation de la lésion articulaire due à une blessure sportive ou à l’arthrose dégénérative. Par conséquent, il y a un besoin d'une meilleure technique de réparation causant moins de morbidité.
- Les cellules souches mésenchymateuses CSM
représente une approche plus sûre. La formation d’os ou de cartilage nouveau, voie naturelle des cellules souches stimulées sur une matrice osseuse, représente une approche idéale, les cellules souches seules étant quiescente, inactives. L’utilisation de CSM, cellules multipotentielles, est une partie importante d’ingéniérie tissulaire pour régénérer les défects ostéocartilagineux
b. Au contraire des autres techniques, la technique proposée est simple et peu coûteuse, basée sur la physiologie normale de la cellule souche mésenchymateuse.
2. L’origine des cellules souches mésenchymateuses
Elles proviennent soit de la moelle osseuse autologue aspirée (au niveau de la crête iliaque postérieure), soit du tissu graisseux obtenu par lipoaspiration de graisse au-dessus de la crête iliaque externe (les flancs). Les cellules souches du tissu graisseux sont en plus grand nombre (plus de 10 millions) que de la moelle osseuse (mille fois supérieur). Les cellules souches sont récupérées par centrifugation de moelle osseuse ou de tissu graisseux par un séparateur cellulaire en 15 minutes.
3. L’implantation des cellules souches se fait en UNE étape, sans culture
Dans la même salle de bloc opératoire, toutes les procédures se font en une seule étape : anesthésie locale ou générale, prélèvement de moelle osseuse ou de tissu graisseux, centrifugation, préparation des cellules souches avec des facteurs protéiques stimulant leur croissance, et du PRP, et mise en place des cellules souches sur une matrice biologique permettant leur transport et l’implantation directe sur la lésion arthrosique pour repousse de cartilage, après préparation arthroscopique des lésions arthrosiques.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire utilise les cellules souches en deux temps, avec prélèvement puis mise en culture, avec un risque de manipulation et de contamination bactérienne, et un risque d’altération génétique des cellules souches cultivées ; puis implantation.
4. Les cellules souches mésenchymateuses seules sont quiescentes, inactives : leur croissance doit être stimulée, pour une utilisation en une seule étape.
Elles doivent être incitées à se multiplier, pour coloniser le défect ostéochondral ou la lésion arthrosique avec perte d’os et de cartilage, et se transformer en os et/ou cartilage.
Les travaux du Professeur S.Slavin ont démontré que les cellules souches sont fortement stimulées dans leur multiplication en les mixant avec des protéines osseuses particulières, technique brevetée.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire se contente d’injecter dans l’articulation des cellules souches non activées, donc sans possibilité de cicatrisation des lésions arthrosiques.
5. Les cellules souches mésenchymateuses activées sont directement implantées contre la lésion arthrosique du genou sous arthroscopie, en utilisant une matrice de transport (ou scaffold) bio-résorbable à base d’hydroxyapatite et de collagène.
Dans certains cas d’arthrose du genou précoce (limitée), ou grave avec critères d’exclusion de transplantation de cellules souches, ou d’arthrose précoce de hanche, des injections intra-articulaires de forte concentration de cellules souches activées sont pratiquées, seules ou en association avec PRP.
La plupart des centres utilisant la thérapie cellulaire se contente d’injecter dans l’articulation des cellules souches non activées, et sans les transplanter contre la lésion, avec risque de destruction de la plupart des cellules souches dans le liquide synovial articulaire.
6. Le nombre des cellules souches
Le nombre de cellules souches joue un rôle critique dans le succès de la procédure. Le concentré obtenu après séparateur cellulaire de la moelle osseuse contient environ 100 000 cellules souches, et plus de 10 millions avec le tissu graisseux. La mise en culture permet d’obtenir jusqu’à mille fois le nombre de cellules souches, mais cette procédure en deux étapes a été supprimée, grâce à l’activation des cellules souches par une matrice protéique déminéralisée, mixée avec les cellules souches avant leur transplantation ou injection.
Il a été prouvé que cette activation stimule la croissance et la multiplication des cellules souches – isolées, elles sont inactives -, et vont permettre la croissance de cartilage et/ou d’os, et leur mise en culture est devenue inutile.