Platelet Rich Plasma, Plasma Riche en Plaquettes, ou PRP
Platelet Rich Plasma, Plasma Riche en Plaquettes, ou PRP, est du plasma sanguin contenant des plaquettes à forte concentration et autres facteurs de croissance.
Ces plaquettes concentrées contiennent de gros réservoirs (de forme circulaire) ou granules Alpha contenant des protéines bioactives ou facteurs de croissance, et des protéines précurseurs pour initier et accélérer la réparation tissulaire.
Il existe une douzaine de facteurs de croissance différents. Le concentré plaquettaire autologue peut accélérer le processus de cicatrisation, en raison de la présence de facteurs de croissance essentiels incluant : platelet-derived growth factor (PDGF), transforming growth factor beta (TGF beta), vascular endothelial growth factor (VEGF) et epidermal growth factor (EGF).
PDGF amorce la guérison de tissu conjonctif, augmente la mitogénèse, l’angiogénèsis et l'activation macrophage. VEGF possède un puissant angiogénique, augmentant les activités mitogéniques et la perméabilité vasculaire. TGF beta augmente la chémotaxis et la mitogénése et stimule la position de collagène. EGF incite le développement épithélial et promeut l’angiogénése.
Ces protéines peuvent initier la cicatrisation des tissus comme les ménisques, le cartilage, l’os, la coiffe des rotateurs de l’épaule, avec développement de nouveaux vaisseaux et du processus de cicatrisation.
Le PRP incite les cellules souches à réparer la lésion ; l’injection de PRP peut dans certains cas, être réalisée sous radiographie (scopie) ou échographie.
Le PRP est une option thérapeutique pour de nombreuses pathologies orthopédiques, ou en cas d’échec du traitement chirurgical, ou pour parfaire et raccourcir la période post-opératoire.
Les pathologies orthopédiques traitées par la thérapie PRP sont : l’arthrose du genou si exclusion des cellules souches, ou en association avec ces dernières ; arthrose de hanche, de l’épaule, de la cheville et autres articulations ; tendinite chronique d’Achille, tendinite du coude, lésions méniscales, du ligament croisé, tendinite tendon rotulien.
La thérapie PRP est considérée comme une technique de pointe, et est utilisée depuis quelques années en Europe et aux USA.
La préparation de PRP nécessite un prélèvement sanguin, qui est centrifugé pour séparer les plaquettes des autres éléments sanguins (globules rouges et blancs). Le séparateur cellulaire permet en 15 minutes d’augmenter la concentration des plaquettes et des facteurs de croissance de plus de 500 %. Les plaquettes concentrées sont ensuite ré-injectées dans la zone pathologique. Ces plaquettes libèrent des facteurs de croissance en grand nombre, jusqu’à huit fois plus, permettant la cicatrisation des tissus lésés, en stimulant les cellules souches locales, et réduisent inflammation et hémorragie.
Après l’injection, il est conseillé d’éviter les anti-inflammatoires, pendant 1 mois, pour ne pas perturber la réaction inflammatoire naturelle du PRP. Mais des antalgiques sont autorisés.
Le nombre d’injection est variable selon les résultats, de 1 à 3 séparées d’1 mois. Une réaction inflammatoire avec douleur modérée est possible pendant 1 semaine.
Platelet Rich Plasma, Plasma Riche en Plaquettes, ou PRP, est du plasma sanguin contenant des plaquettes à forte concentration et autres facteurs de croissance.
Ces plaquettes concentrées contiennent de gros réservoirs (de forme circulaire) ou granules Alpha contenant des protéines bioactives ou facteurs de croissance, et des protéines précurseurs pour initier et accélérer la réparation tissulaire.
Il existe une douzaine de facteurs de croissance différents. Le concentré plaquettaire autologue peut accélérer le processus de cicatrisation, en raison de la présence de facteurs de croissance essentiels incluant : platelet-derived growth factor (PDGF), transforming growth factor beta (TGF beta), vascular endothelial growth factor (VEGF) et epidermal growth factor (EGF).
PDGF amorce la guérison de tissu conjonctif, augmente la mitogénèse, l’angiogénèsis et l'activation macrophage. VEGF possède un puissant angiogénique, augmentant les activités mitogéniques et la perméabilité vasculaire. TGF beta augmente la chémotaxis et la mitogénése et stimule la position de collagène. EGF incite le développement épithélial et promeut l’angiogénése.
Ces protéines peuvent initier la cicatrisation des tissus comme les ménisques, le cartilage, l’os, la coiffe des rotateurs de l’épaule, avec développement de nouveaux vaisseaux et du processus de cicatrisation.
Le PRP incite les cellules souches à réparer la lésion ; l’injection de PRP peut dans certains cas, être réalisée sous radiographie (scopie) ou échographie.
Le PRP est une option thérapeutique pour de nombreuses pathologies orthopédiques, ou en cas d’échec du traitement chirurgical, ou pour parfaire et raccourcir la période post-opératoire.
Les pathologies orthopédiques traitées par la thérapie PRP sont : l’arthrose du genou si exclusion des cellules souches, ou en association avec ces dernières ; arthrose de hanche, de l’épaule, de la cheville et autres articulations ; tendinite chronique d’Achille, tendinite du coude, lésions méniscales, du ligament croisé, tendinite tendon rotulien.
La thérapie PRP est considérée comme une technique de pointe, et est utilisée depuis quelques années en Europe et aux USA.
La préparation de PRP nécessite un prélèvement sanguin, qui est centrifugé pour séparer les plaquettes des autres éléments sanguins (globules rouges et blancs). Le séparateur cellulaire permet en 15 minutes d’augmenter la concentration des plaquettes et des facteurs de croissance de plus de 500 %. Les plaquettes concentrées sont ensuite ré-injectées dans la zone pathologique. Ces plaquettes libèrent des facteurs de croissance en grand nombre, jusqu’à huit fois plus, permettant la cicatrisation des tissus lésés, en stimulant les cellules souches locales, et réduisent inflammation et hémorragie.
Après l’injection, il est conseillé d’éviter les anti-inflammatoires, pendant 1 mois, pour ne pas perturber la réaction inflammatoire naturelle du PRP. Mais des antalgiques sont autorisés.
Le nombre d’injection est variable selon les résultats, de 1 à 3 séparées d’1 mois. Une réaction inflammatoire avec douleur modérée est possible pendant 1 semaine.