Suite du Journal de Bord, depuis l'essai clinique cellules souches et arthrose du genou autorisé en 2010 par ANSM et CPP
Exemples de traitement de l'arthrose grade 4 genou, par arthroscopie arthrolyse microforages thérapie cellulaire, associée à éventuelle greffe de ménisque, et si l'axe de déformation varus-valgus est de plus de 5°, correction de la déformation par ostéotomie de valgisation tibiale (varus) ou varisation fémorale (valgus). La 3è colonne montre un exemple de régénération repousse de cartilage. Faire défiler les photos
Ostéotomie varisation fémorale et arthroscopie arthrolyse libération ligament latéral externe et thérapie cellulaire
|
Ostéotomie valgisation tibiale et arthroscopie arthrolyse microforages et thérapie cellulaire
|
Exemple de régénération cartilage: ostéotomie varisation fémorale, suivie de arthroscopie arthrolyse microforages, greffe de ménisque externe; arthroscopie 2è vue avec repousse de cartilage
|
Suite du Journal. Cliquez sur la flèche à droite du titre pour dérouler ou réduire l'article
Juillet 2019
(1) Les résultats de la chirurgie régénérative thérapie cellulaire dans l'arthrose grave grade 3 et 4 du genou à 9 ans de recul): Rappel de la technique Lire plus...
(1) Les résultats de la chirurgie régénérative thérapie cellulaire dans l'arthrose grave grade 3 et 4 du genou à 9 ans de recul): Rappel de la technique Lire plus...
Rappel de la technique de régénération cartilage
9 ans ont passé depuis l'essai clinique de 2010 autorisé par l'ANSM et le CPP, 9 années depuis la première utilisation officielle des cellules souches mésenchymateuses Csm de moelle osseuse aspirée et concentrée, implantées pour le traitement de l'arthrose grave grade 3 et 4 du genou, après la réparation des lésions mécaniques (ostéotomie si désaxation de plus de 5°, reconstruction ligament si instabilité, greffe de ménisque si perte de plus de 50%), et microforages des zones de perte de cartilage (lieux de repousse du cartilage).
L'implantation se fait en intra articulaire dans la métaphyse, avec un transporteur scaffold résorbable type collagène ou gélatine, et bientôt du polyuréthane en cours de développement.
Les critères d'inclusion: âge moins de 70 ans, bonne performance physique, pas de surpoids et pas de problème médical. Si cette chirurgie devient lourde pour le patient, ne pas hésiter à proposer la prothèse totale de genou (non cimentée sous mini invasive).
Il y a eu plusieurs étapes successives dans la thérapie cellulaire: arthroscopie isolée avec microforages sur genou à bonne mécanique; puis association ostéotomie et arthroscopie, tibiale pour les varus, puis fémoral pour les valgus; reconstruction ligament croisé antérieur, plus rarement postérieur dans l'arthrose grade 4 et thérapie cellulaire; arthroscopie et greffe de ménisque dans l'arthrose grade 3 ou 4 et thérapie cellulaire; ostéotomie et greffe de ménisque; ligament croisé et greffe de ménisque, et enfin la totale: triple intervention ostéotomie, ligament croisé, greffe de ménisque et thérapie cellulaire.
La chirurgie régénérative de l'arthrose grade 3 ou 4 du genou est donc une chirurgie à la carte, qui répare les lésions mécaniques, préalablement à l'arthroscopie microforages et thérapie cellulaire. Le geste ultime est la libération du ligament latéral interne ou externe, de décompression de la zone d'arthrose, mis au point depuis juillet 2017.
Quels sont ses résultats, ses incidents, ses complications? Lire post suivant (2 et 3)
9 ans ont passé depuis l'essai clinique de 2010 autorisé par l'ANSM et le CPP, 9 années depuis la première utilisation officielle des cellules souches mésenchymateuses Csm de moelle osseuse aspirée et concentrée, implantées pour le traitement de l'arthrose grave grade 3 et 4 du genou, après la réparation des lésions mécaniques (ostéotomie si désaxation de plus de 5°, reconstruction ligament si instabilité, greffe de ménisque si perte de plus de 50%), et microforages des zones de perte de cartilage (lieux de repousse du cartilage).
L'implantation se fait en intra articulaire dans la métaphyse, avec un transporteur scaffold résorbable type collagène ou gélatine, et bientôt du polyuréthane en cours de développement.
Les critères d'inclusion: âge moins de 70 ans, bonne performance physique, pas de surpoids et pas de problème médical. Si cette chirurgie devient lourde pour le patient, ne pas hésiter à proposer la prothèse totale de genou (non cimentée sous mini invasive).
Il y a eu plusieurs étapes successives dans la thérapie cellulaire: arthroscopie isolée avec microforages sur genou à bonne mécanique; puis association ostéotomie et arthroscopie, tibiale pour les varus, puis fémoral pour les valgus; reconstruction ligament croisé antérieur, plus rarement postérieur dans l'arthrose grade 4 et thérapie cellulaire; arthroscopie et greffe de ménisque dans l'arthrose grade 3 ou 4 et thérapie cellulaire; ostéotomie et greffe de ménisque; ligament croisé et greffe de ménisque, et enfin la totale: triple intervention ostéotomie, ligament croisé, greffe de ménisque et thérapie cellulaire.
La chirurgie régénérative de l'arthrose grade 3 ou 4 du genou est donc une chirurgie à la carte, qui répare les lésions mécaniques, préalablement à l'arthroscopie microforages et thérapie cellulaire. Le geste ultime est la libération du ligament latéral interne ou externe, de décompression de la zone d'arthrose, mis au point depuis juillet 2017.
Quels sont ses résultats, ses incidents, ses complications? Lire post suivant (2 et 3)
Juillet 2019
(2) Les résultats de la chirurgie régénérative thérapie cellulaire dans l'arthrose grave grade 3 et 4 du genou à 9 ans de recul Lire plus...
(2) Les résultats de la chirurgie régénérative thérapie cellulaire dans l'arthrose grave grade 3 et 4 du genou à 9 ans de recul Lire plus...
Comme décrit précédemment dans le post (1), alors même que la prothèse du genou est une seule technique reproductible, aux résultats univoques, la chirurgie régénérative de l'arthrose grave du genou est donc une chirurgie à la carte, et n'est pas univoque, utilisant plusieurs techniques correctrices associées selon les nécessités.
La base de la chirurgie régénérative de l'arthrose grave du genou, c'est l'arthroscopie avec arthrolyse, microforages des zones d'arthrose, libération du ligament latéral, débridement et thérapie cellulaire: cellules souches mésenchypateuses si perte de plus de 6 cm2; plasma riche en plaquettes PRP si perte faible de moins de 4-5 cm2.
Selon les nécessités, cette chirurgie régénérative de base pourra être associée à une ostéotomie pour réaxer le genou si dévié de plus de 5° (arqué ou en X), une reconstruction du ligament croisé, une greffe de ménisque.
Les résultats sont donc difficiles à appréhender par rapport à une simple prothèse de genou: tel patient avec une chirurgie multiple lourde du genou pourra recourir, alors qu'un autre avec une simple arthroscopie continuera à être gêné : tout est affaire, on le verra, de volonté, de récupération de la mobilité, et d'éviter les adhérences qui gênent la mobilité et sont douloureuses.
La base de la chirurgie régénérative de l'arthrose grave du genou, c'est l'arthroscopie avec arthrolyse, microforages des zones d'arthrose, libération du ligament latéral, débridement et thérapie cellulaire: cellules souches mésenchypateuses si perte de plus de 6 cm2; plasma riche en plaquettes PRP si perte faible de moins de 4-5 cm2.
Selon les nécessités, cette chirurgie régénérative de base pourra être associée à une ostéotomie pour réaxer le genou si dévié de plus de 5° (arqué ou en X), une reconstruction du ligament croisé, une greffe de ménisque.
Les résultats sont donc difficiles à appréhender par rapport à une simple prothèse de genou: tel patient avec une chirurgie multiple lourde du genou pourra recourir, alors qu'un autre avec une simple arthroscopie continuera à être gêné : tout est affaire, on le verra, de volonté, de récupération de la mobilité, et d'éviter les adhérences qui gênent la mobilité et sont douloureuses.
Juillet 2019
(3) Les résultats, incidents et complications de la chirurgie régénérative thérapie cellulaire dans l'arthrose grave grade 3 et 4 du genou à 9 ans de recul Lire plus...
(3) Les résultats, incidents et complications de la chirurgie régénérative thérapie cellulaire dans l'arthrose grave grade 3 et 4 du genou à 9 ans de recul Lire plus...
Ainsi, comme décrits dans les posts précédents 1 et 2, la chirurgie régénérative de l'arthrose grave du genou est multiples, chirurgie à la carte avec une ou plusieurs chirurgies associées avec d'implanter cellules souches et/ou plaquettes concentrées PRP. Lorsque que voyez courir un patient plusieurs mois après sa chirurgie non prothétique de l'arthrose grave du genou, il faut savoir quel type d'intervention il a eu: arthroscopie arthrolyse simple? Associée avec ostéotomie? Ligament croisé? greffe de ménisque? Plus la chirurgie est lourde, plus les résultats sont longs à obtenir (6 mois en moyenne); plus le patient est âgé, plus long est le résultat.
Les résultats toutes technique confondues sont de 92% de bons résultats, incluant même les greffes de ménisque, technique ultra sensible. La prothèse de genou est du même ordre, mais avec 20% de gêne, inconfort, raideur (flexion réduite).
L'incidents le plus fréquent est l'apparition des adhérences douloureuses (fibroses cicatricielles), par retard de rééducation, avec limitation de la mobilité du genou et de la rotule, toujours dues au patient. Si on ne travaille par la flexion le premier mois, en se forçant à fléchir à plus de 130° dès les 2 premières semaines (sauf pour la greffe de ménisque, dont la flexion est limitée le premier mois), si on ne fait pas les manipulations anti adhérences de la rotule (bascule interne forcée), et du ligament latéral (valgus ou varus forcés), la mobilité est réduite et le genou est douloureux. C'est l'incident le plus fréquent. Il se traite simplement par la section des adhérences en sous cutanée, sans ouvrir, par une courte incision de quelques mm, avec mobilisation, sous anesthésie légère. C'est un geste simple qui fait partie de la technique, et que je ne considère pas comme une complication, mais comme une adaptation au retard de rééducation. Les quelques rares patients qui continuent d'être douloureux (flexion limitée, craquements, ..) sont ceux qui refusent d'être libérés de ces adhérences, qu'ils ont eux-même provoqué par les insuffisances de rééducation.
Une autre complication est la persistance de douleurs de la région de l'arthrose qui a été traitée selon la chirurgie à la carte. Si cette douleur persiste à plus de 6 mois (on considère que la régénération de cartilage se fait dans ce lap de temps), il s'agit le plus souvent de la persistance d'hyperpression de la région de l'arthrose, avec persistance d'un contact serré condyle-tibia ou os-os, malgré l'éventuelle ostéotomie, ou la libération systématique maintenant du ligament latéral interne. Soit l'ostéotomie a été insuffisante hypocorrectrice (rare), soit adhérences rétraction cicatricielle du ligament latéral interne. Dans ce cadre, le traitement est tout simplement de re-sectionner la face profonde du ligament latéral (interne ou externe) pour décomprimer décoapter condyle et tibia, et permettre la régénération: soit en sous cutanée, soit par arthroscopie selon les cas, avec complément de microforages et éventuelle thérapie cellulaire de complément.
Le fil conducteur de cette technique est de réaliser à tout prix une réduction de la pression de la région arthrosique pour permettre la régénération de cartilage.
Autre complication très rare: aggravation de l'arthrose après greffe de ménisque qui s'est résorbé, 1 cas actuel; qui sera traité par une nouvelle greffe.
Des cas d'infections ont été relevés, rares; traitées par lavage sans ouvrir, (sans arthrotomie, qui est à éviter absolument), en sous cutanée par l'ancienne voie externe d'arthroscopie, avec curetage, drain à demeure et antibiotiques adaptés; sans grever dans la majorité des cas les résultats. Un seul cas de raideur, avec lésion tendon rotulien; et 1 cas de raideur d'un patient traité par ouverture chirurgicale dans un autre centre hospitalier.
En résumé, l'incident le plus fréquent est l'apparition d'adhérences cicatricielles qui gênent la mobilité genou-rotule, douloureuses, sur retard de rééducation. Elles sont aussi favorisées par l'utilisation excessive de la glace, qu'il faut proscrire; et il est utile de laisser le genou enflé les premiers mois, pour réduire le risque d'adhérences
Les résultats toutes technique confondues sont de 92% de bons résultats, incluant même les greffes de ménisque, technique ultra sensible. La prothèse de genou est du même ordre, mais avec 20% de gêne, inconfort, raideur (flexion réduite).
L'incidents le plus fréquent est l'apparition des adhérences douloureuses (fibroses cicatricielles), par retard de rééducation, avec limitation de la mobilité du genou et de la rotule, toujours dues au patient. Si on ne travaille par la flexion le premier mois, en se forçant à fléchir à plus de 130° dès les 2 premières semaines (sauf pour la greffe de ménisque, dont la flexion est limitée le premier mois), si on ne fait pas les manipulations anti adhérences de la rotule (bascule interne forcée), et du ligament latéral (valgus ou varus forcés), la mobilité est réduite et le genou est douloureux. C'est l'incident le plus fréquent. Il se traite simplement par la section des adhérences en sous cutanée, sans ouvrir, par une courte incision de quelques mm, avec mobilisation, sous anesthésie légère. C'est un geste simple qui fait partie de la technique, et que je ne considère pas comme une complication, mais comme une adaptation au retard de rééducation. Les quelques rares patients qui continuent d'être douloureux (flexion limitée, craquements, ..) sont ceux qui refusent d'être libérés de ces adhérences, qu'ils ont eux-même provoqué par les insuffisances de rééducation.
Une autre complication est la persistance de douleurs de la région de l'arthrose qui a été traitée selon la chirurgie à la carte. Si cette douleur persiste à plus de 6 mois (on considère que la régénération de cartilage se fait dans ce lap de temps), il s'agit le plus souvent de la persistance d'hyperpression de la région de l'arthrose, avec persistance d'un contact serré condyle-tibia ou os-os, malgré l'éventuelle ostéotomie, ou la libération systématique maintenant du ligament latéral interne. Soit l'ostéotomie a été insuffisante hypocorrectrice (rare), soit adhérences rétraction cicatricielle du ligament latéral interne. Dans ce cadre, le traitement est tout simplement de re-sectionner la face profonde du ligament latéral (interne ou externe) pour décomprimer décoapter condyle et tibia, et permettre la régénération: soit en sous cutanée, soit par arthroscopie selon les cas, avec complément de microforages et éventuelle thérapie cellulaire de complément.
Le fil conducteur de cette technique est de réaliser à tout prix une réduction de la pression de la région arthrosique pour permettre la régénération de cartilage.
Autre complication très rare: aggravation de l'arthrose après greffe de ménisque qui s'est résorbé, 1 cas actuel; qui sera traité par une nouvelle greffe.
Des cas d'infections ont été relevés, rares; traitées par lavage sans ouvrir, (sans arthrotomie, qui est à éviter absolument), en sous cutanée par l'ancienne voie externe d'arthroscopie, avec curetage, drain à demeure et antibiotiques adaptés; sans grever dans la majorité des cas les résultats. Un seul cas de raideur, avec lésion tendon rotulien; et 1 cas de raideur d'un patient traité par ouverture chirurgicale dans un autre centre hospitalier.
En résumé, l'incident le plus fréquent est l'apparition d'adhérences cicatricielles qui gênent la mobilité genou-rotule, douloureuses, sur retard de rééducation. Elles sont aussi favorisées par l'utilisation excessive de la glace, qu'il faut proscrire; et il est utile de laisser le genou enflé les premiers mois, pour réduire le risque d'adhérences
Juillet 2019
Nouvelles vidéo de reprise sportive après traitement d'arthrose grave du genou par chirurgie régénérative et thérapie cellulaire Lire plus...
Nouvelles vidéo de reprise sportive après traitement d'arthrose grave du genou par chirurgie régénérative et thérapie cellulaire Lire plus...
De nouvelles vidéos ont été postés sur la page Facebook professionnelle, liée à ce site principal, sur laquelle je mets en ligne des photos vidéos et témoignages des patients, qui sont libres d'écrire leurs expériences post-opératoires, heureusement bonnes pour la majorité, mais pour certains parfois difficiles. La chirurgie de régénération de cartilage avec thérapie cellulaire nécessite une longue rééducation, avec des écueils, des obstacles qu'il faut parfois traverser, et de la volonté pour les vaincre. Je détaillerai les résultats, les suites et les incidents possibles dans le prochain post. Lien pour visionner les vidéos de récupérations post-opératoires des patients : https://www.facebook.com/drmichelassor/?ref=bookmarks
Janvier 2019
Faut il encore prouver la puissance des cellules souches dans la régénération du cartilage
#regenerationarthrose #cellulesouches
Voir photos et surtout le film de l'arthroscopie 2è vue sur Facebook https://www.facebook.com/drmichelassor Lire plus...
Faut il encore prouver la puissance des cellules souches dans la régénération du cartilage
#regenerationarthrose #cellulesouches
Voir photos et surtout le film de l'arthroscopie 2è vue sur Facebook https://www.facebook.com/drmichelassor Lire plus...
Faut il encore prouver la puissance des cellules souches dans la régénération du cartilage pour le traitement de l'arthrose sévère du genou grade 4/4, même au stade os contre os ? Alors que plusieurs de mes communications et publications l'ont démontré depuis mon essai clinique autorisé en 2010 (et terminé en décembre 2014), et soutenu par plusieurs grands noms de la chirurgie orthopédique hospitalière, j'entends encore de la part de certains collègues, mépris, voire insultes.
Voici encore un autre exemple d'un patient Mr Mald., opéré en 2014 des deux genoux d'une arthrose sévère avec déformation en varus de plus de 5°, opéré par ostéotomie de réaxation suivie d'une arthroscopie arthrolyse, microforages des zones d'arthrose et implantation de cellules souches de moelle osseuse concentrée.
Les photos et vidéos 2è vue à près de 5 ans, réalisées lors de l'ablation des plaques tibiales, montrent une belle régénération de cartilage recouvrant le vide fémur et tibia interne. Les images suivantes montrent de façon saisissante en 2 photos l'avant et l'après. Bonne lecture
Voici encore un autre exemple d'un patient Mr Mald., opéré en 2014 des deux genoux d'une arthrose sévère avec déformation en varus de plus de 5°, opéré par ostéotomie de réaxation suivie d'une arthroscopie arthrolyse, microforages des zones d'arthrose et implantation de cellules souches de moelle osseuse concentrée.
Les photos et vidéos 2è vue à près de 5 ans, réalisées lors de l'ablation des plaques tibiales, montrent une belle régénération de cartilage recouvrant le vide fémur et tibia interne. Les images suivantes montrent de façon saisissante en 2 photos l'avant et l'après. Bonne lecture
Octobre 2018. Le point sur les techniques de régénération de cartilage dans l'arthrose grave du genou Lire plus...
#arthrosegenou #thérapiecellulaire #cellulesouches
Voici un point des techniques de régénération du cartilage dans l'arthrose sévère genou, par chirurgie à la carte et thérapie cellulaire. Des photos permettent de mieux les comprendre.
Ce traitement non prothétique s’adresse au patient encore jeune à bonne performance physique. Il est issu des résultats confirmés d’ un essai clinique de régénération de cartilage par implantation de cellules souches de moelle osseuse concentrée, que j'ai mené de 2010 à 2014. La croissance de cartilage a été prouvée, dans l’arthrose terminale, même dans les grandes perte de cartilage, avec contact os-os (pincement complet condyle-tibia).
Le traitement se résume en 3 mots: décompression, microforages et cellules.
Le traitement de base est une arthroscopie arthrolyse, avec gestes directs sur l’arthrose par des microforages rapprochés des zones de perte de cartilage, décompression de la zone d’arthrose par relâchement du ligament latéral interne et/ou externe, décompression rotule par libération latérale, et thérapie cellulaire sur gélatine (plaquettes concentrées PRP si taille de la perte de moins de 6 cm2; cellules souches au-delà).
Ce traitement de base doit être associé à la correction des 3 principales lésions mécaniques du genou : ostéotomie de réaxation si désaxation de plus de 5-6° (varus ou valgus); reconstruction ligament croisé si instabilité ligamentaire; réparation ménisque ou greffe de ménisque si perte de plus de 50% du ménisque: toujours dans l’esprit de décomprimer la zone d’arthrose et permettre sa régénération de cartilage. Ces gestes pouvant être associés. Voici les photos illustrant ces techniques.
La rééducation est longue, vélo et musculation dès le 2è-3è mois; et la récupération physique et souvent sportive se constate dans un délai de 6-9 mois.
Les images successives de cette chirurgie à la carte sont publiées sur le site Facebook:
<iframe src="https://www.facebook.com/plugins/post.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fdrmichelassor%2Fposts%2F1041219626044182&width=500" width="500" height="795" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowTransparency="true" allow="encrypted-media"></iframe>.
Voici un point des techniques de régénération du cartilage dans l'arthrose sévère genou, par chirurgie à la carte et thérapie cellulaire. Des photos permettent de mieux les comprendre.
Ce traitement non prothétique s’adresse au patient encore jeune à bonne performance physique. Il est issu des résultats confirmés d’ un essai clinique de régénération de cartilage par implantation de cellules souches de moelle osseuse concentrée, que j'ai mené de 2010 à 2014. La croissance de cartilage a été prouvée, dans l’arthrose terminale, même dans les grandes perte de cartilage, avec contact os-os (pincement complet condyle-tibia).
Le traitement se résume en 3 mots: décompression, microforages et cellules.
Le traitement de base est une arthroscopie arthrolyse, avec gestes directs sur l’arthrose par des microforages rapprochés des zones de perte de cartilage, décompression de la zone d’arthrose par relâchement du ligament latéral interne et/ou externe, décompression rotule par libération latérale, et thérapie cellulaire sur gélatine (plaquettes concentrées PRP si taille de la perte de moins de 6 cm2; cellules souches au-delà).
Ce traitement de base doit être associé à la correction des 3 principales lésions mécaniques du genou : ostéotomie de réaxation si désaxation de plus de 5-6° (varus ou valgus); reconstruction ligament croisé si instabilité ligamentaire; réparation ménisque ou greffe de ménisque si perte de plus de 50% du ménisque: toujours dans l’esprit de décomprimer la zone d’arthrose et permettre sa régénération de cartilage. Ces gestes pouvant être associés. Voici les photos illustrant ces techniques.
La rééducation est longue, vélo et musculation dès le 2è-3è mois; et la récupération physique et souvent sportive se constate dans un délai de 6-9 mois.
Les images successives de cette chirurgie à la carte sont publiées sur le site Facebook:
<iframe src="https://www.facebook.com/plugins/post.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fdrmichelassor%2Fposts%2F1041219626044182&width=500" width="500" height="795" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowTransparency="true" allow="encrypted-media"></iframe>.
Juin-Juillet 2018
Chirurgie à la carte et thérapie cellulaire dans le traitement conservateur de l'arthrose grade 4/4 du genou: le nouveau geste sur le ligament latéral Lire plus...
Chirurgie à la carte et thérapie cellulaire dans le traitement conservateur de l'arthrose grade 4/4 du genou: le nouveau geste sur le ligament latéral Lire plus...
Le tout prothèse totale de genou (- et je ne parle pas de la prothèse uni-compartimentale, stupidité mécanique que j'ai depuis longtemps abandonné-) est une époque révolue, et on peut considérer que plus de 40 ou 50% des arthroses grade 4, peuvent être traitées par un traitement conservateur de régénération du cartilage, selon critères d'inclusion. La chirurgie à la carte est le traitement de toutes les lésions mécaniques du genou, avant le traitement par arthroscopie des zones de perte de cartilage (arthrose 4) par microforages multiples et thérapie cellulaire de repousse de cartilage par ces tunnels ainsi créés, soit plaquettes concentrées plasma riche en plaquettes PRP dans les grades 3, ou dans les grade 4 si la taille de la perte de cartilage est de moins de 5cm2; cellules souches concentration de moelle osseuse si perte extensive.
Ainsi, il faut corriger les déformations axiales (varus valgus) par ostéotomie,si la désaxation est de plus de 5°; reconstruire le ligament croisé si instabilité; faire une greffe de ménisque (interne et/ou externe) si perte de plus de 50% de son capital (souvent par ancienne méniscectomie extensive).
Depuis 2017, j'ai associé, et cela systématiquement pour toutes les arthroses grade 3 ou 4, la libération ou relâchement du ligament latéral interne ou externe (LLI ou LLE, il y a un autre terme pour les puristes), toujours rétracté par la perte de cartilage, par section sous arthroscopie de sa face profonde, geste difficile, jusqu'à ouvrir et décomprimer la zone articulaire concernée fémoro-tibiale. C'est ainsi que le pincement articulaire à la radiographie de face, avec contact os-os, qui persiste souvent malgré une ostéotomie, se réduit. Cette décompression arthrosique a un effet radical sur la douleur, et sur la régénération de cartilage. Elle facilite largement aussi la pose de la greffe de ménisque. L'autre intérêt de cette technique de décompression est d'élargir les indications du traitement de régénérateur aux patients âgés de plus de 75-80 ans, à bonne forme physique, et permettant de faire uniquement l'arthroscopie sans réaliser d'ostéotomie trop lourde, pourvu que l'axe du genou soit de moins de 5°. J'aurai l'occasion de montrer une vidéo de la technique opératoire.
Ainsi, il faut corriger les déformations axiales (varus valgus) par ostéotomie,si la désaxation est de plus de 5°; reconstruire le ligament croisé si instabilité; faire une greffe de ménisque (interne et/ou externe) si perte de plus de 50% de son capital (souvent par ancienne méniscectomie extensive).
Depuis 2017, j'ai associé, et cela systématiquement pour toutes les arthroses grade 3 ou 4, la libération ou relâchement du ligament latéral interne ou externe (LLI ou LLE, il y a un autre terme pour les puristes), toujours rétracté par la perte de cartilage, par section sous arthroscopie de sa face profonde, geste difficile, jusqu'à ouvrir et décomprimer la zone articulaire concernée fémoro-tibiale. C'est ainsi que le pincement articulaire à la radiographie de face, avec contact os-os, qui persiste souvent malgré une ostéotomie, se réduit. Cette décompression arthrosique a un effet radical sur la douleur, et sur la régénération de cartilage. Elle facilite largement aussi la pose de la greffe de ménisque. L'autre intérêt de cette technique de décompression est d'élargir les indications du traitement de régénérateur aux patients âgés de plus de 75-80 ans, à bonne forme physique, et permettant de faire uniquement l'arthroscopie sans réaliser d'ostéotomie trop lourde, pourvu que l'axe du genou soit de moins de 5°. J'aurai l'occasion de montrer une vidéo de la technique opératoire.
La gestion de la douleur post-opératoire Lire plus...
Un patient m'a fait remarquer à juste titre que je ne développais pas beaucoup dans mes écrits, la gestion des douleurs post-opératoires que nous réalisons avec l'anesthésiste (principalement le Dr Elisabeth Eulerich). Outre le traitement intra-veineux (perfusion) anti-douleur et anti-inflammatoire systématique, en plus des antibiotiques durant l'intervention, outre l'injection systématique par moi-même en fin d'intervention, d'anesthésiant (Naropeine) sur la plaie opératoire, l'anesthésiste (anesthésie par rachi, ou général) met en place selon le type d'intervention, si lourde ou réputée douloureuse, une pompe à morphine contrôlée par le patient (PCA, patient controlled anesthesy), un bloc crural (au niveau de l'aine, à la fin de l'intervention, donc patient encore sous anesthésie), qui contrôle la douleur sur 15-20 h ou plus, gestes parfois associés.
Nouveau cas publié sur FB pro:
Nouveau cas publié sur FB pro: les effets néfastes d'une méniscectomie trop extensive (plus de la moitié réséquée), avec arthrose grade 4 précoce chez un jeune patient de 34 ans, traitée par greffe de ménisque interne, libération ligament latéral médial et thérapie plaquettes cocentrées Prp:
https://www.facebook.com/drmichelassor/?modal=composer&ref=profile_intro_card
Décembre-Janvier 2018
Communication au Congrès de la SFA (Société Française d'Arthroscopie) des résultats de l'implant méniscal polymère (greffe méniscale) dans l'arthrose grade 4 du genou
voir les diapositives ICI Lire plus...
Communication au Congrès de la SFA (Société Française d'Arthroscopie) des résultats de l'implant méniscal polymère (greffe méniscale) dans l'arthrose grade 4 du genou
voir les diapositives ICI Lire plus...
Ces résultats ont été communiqués le 6 décembre 2017 au congrès de la SFA, Société Française (ou francophone) d'Arthroscopie); les diapositives de la communication sont consultables ICI.
Titre: Résultats à 4 ans de 48 greffes d’implant méniscal biodégradable (Actifit) dans l’arthrose grade 4 du genou, avec thérapie cellulaire : Etudes rétrospectives comparatives avec un groupe témoin sans greffe méniscale
La greffe de ménisque dans l'arthrose grade 4 n'avait jamais été proposée dans le monde, et il s'agit de la première communication du genre. Cela m'a d'ailleurs valu un clach publique avec un collègue qui s'opposait à l'utilisation de ces greffes dans l'arthrose terminale: les faits lui ont donné tort.
Il s'agit de l'expérience ultime de régénération de cartilage de l'arthrose terminale grade 4 du genou, chez les patients jeunes à bonne performance physique, et avec critères de bonne mécanique: bon axe, ligament stable, et présence du ménisque. Elle a commencé par un essai clinique en 2010, d'abord sur un genou à mécanique normale, dont le traitement de base est l'arthroscopie, microforages de l'arthrose et thérapie cellulaire sur scaffold de collagène, puis de gélatine hémostatique par cellules souches mésenchymateuses de moelle osseuse pour les grandes pertes de cartilage de plus de 6 cm2, ou plaquettes concentrées PRP pour les petites pertes de cartilage.
Cette expérience s'est poursuivie avec les corrections de la désaxation (varus genou arqué ou valgus) par ostéotomie (avec plaque); puis avec les reconstruction ligamentaire; puis les associations ostéotomie et reconstruction ligamentaire.
Les résultats ont été communiqués deux fois à la SOFCOT (société française de chirurgie orthopédique et traumatologique), en 2013 et en 2014.
Constatant que malgré l'ostéotomie, et dans les grandes pertes de plus des 2/3 du ménisque, les résultats du traitement conservateur restaient moyens ou pauvres, j'ai décidé de sauter le pas en 2012-2013, et de commencer les greffes de ménisque (avec thérapie cellulaire) par les implants polymères Actifit, - et actuellement depuis avril 2017 pour cause d'arrêt provisoire de la production d'Actifit, par l'implant méniscal collagène CMI de Stryker -, avec ici aussi, des associations de correction ostéotomie+greffe ménisque, ligament +greffe ménisque, ou plus. Les résultats à 4 ans montrent la fiabilité de cette méthode, avec colonisation de l'implant par du cartilage, régénération de cartilage des zones d'arthrose, bonne fonction clinique, et pour la majorité, ce qui est surprenant, reprise sportive, sachant l'évolution de cette méthode est longue, de 5 à 8 mois.
Ci-dessous: lors de la communication au congrès SFA décembre 2017
Titre: Résultats à 4 ans de 48 greffes d’implant méniscal biodégradable (Actifit) dans l’arthrose grade 4 du genou, avec thérapie cellulaire : Etudes rétrospectives comparatives avec un groupe témoin sans greffe méniscale
La greffe de ménisque dans l'arthrose grade 4 n'avait jamais été proposée dans le monde, et il s'agit de la première communication du genre. Cela m'a d'ailleurs valu un clach publique avec un collègue qui s'opposait à l'utilisation de ces greffes dans l'arthrose terminale: les faits lui ont donné tort.
Il s'agit de l'expérience ultime de régénération de cartilage de l'arthrose terminale grade 4 du genou, chez les patients jeunes à bonne performance physique, et avec critères de bonne mécanique: bon axe, ligament stable, et présence du ménisque. Elle a commencé par un essai clinique en 2010, d'abord sur un genou à mécanique normale, dont le traitement de base est l'arthroscopie, microforages de l'arthrose et thérapie cellulaire sur scaffold de collagène, puis de gélatine hémostatique par cellules souches mésenchymateuses de moelle osseuse pour les grandes pertes de cartilage de plus de 6 cm2, ou plaquettes concentrées PRP pour les petites pertes de cartilage.
Cette expérience s'est poursuivie avec les corrections de la désaxation (varus genou arqué ou valgus) par ostéotomie (avec plaque); puis avec les reconstruction ligamentaire; puis les associations ostéotomie et reconstruction ligamentaire.
Les résultats ont été communiqués deux fois à la SOFCOT (société française de chirurgie orthopédique et traumatologique), en 2013 et en 2014.
Constatant que malgré l'ostéotomie, et dans les grandes pertes de plus des 2/3 du ménisque, les résultats du traitement conservateur restaient moyens ou pauvres, j'ai décidé de sauter le pas en 2012-2013, et de commencer les greffes de ménisque (avec thérapie cellulaire) par les implants polymères Actifit, - et actuellement depuis avril 2017 pour cause d'arrêt provisoire de la production d'Actifit, par l'implant méniscal collagène CMI de Stryker -, avec ici aussi, des associations de correction ostéotomie+greffe ménisque, ligament +greffe ménisque, ou plus. Les résultats à 4 ans montrent la fiabilité de cette méthode, avec colonisation de l'implant par du cartilage, régénération de cartilage des zones d'arthrose, bonne fonction clinique, et pour la majorité, ce qui est surprenant, reprise sportive, sachant l'évolution de cette méthode est longue, de 5 à 8 mois.
Ci-dessous: lors de la communication au congrès SFA décembre 2017
Novembre 2017.
La victoire judiciaire du Dr Assor ou l’insoutenable humiliation des obscurantistes des autorités de santé marseillaises Lire plus...
La victoire judiciaire du Dr Assor ou l’insoutenable humiliation des obscurantistes des autorités de santé marseillaises Lire plus...
Ou le combat victorieux d'un homme seul fort de ses convictions, contre les 3 autorités étatiques de santé que sont l'ordre des médecins de Marseille, la Sécu local Marseille, et l'ARS Paca.
Ceux qui suivent mes blogs savent les procédures judiciaires que j’ai du subir depuis près de 4 ans, à la suite d’un essai clinique de traitement de l’arthrose grave grade 4/4 du genou. Cet essai autorisé par l’ANSM et CPP en 2010, terminé en décembre 2014, a permis de confirmer la régénération du cartilage en implantant les cellules souches mésenchymateuses de moelle osseuse concentrée, sous arthroscopie avec microforages, et après traitement des lésions mécaniques du genou, chez des patients jeunes à bonne performance physique.
Le tout prothèse comme traitement de l’arthrose grave du genou est une période révolue : la thérapie cellulaire permet une baisse de 40% du nombre de prothèses totales du genou implantées, et la prothèse unicompartimentale (Puc) est vouée à disparaître.
Il était donc naturel d’être confronté à de fortes oppositions de la part de mes confrères, avec des lettres de délation organisées par mes anciens anesthésistes (les vers dans le fruit !) et leurs collègues orthopédistes dont certains membres du conseil de l’ordre de Marseille.
Ce dernier a pu ainsi déclencher une avalanche de contrôles : demande d’expertise de mes connaissances par l’ordre national ; contrôle par l’Assurance maladie de Marseille ; et par l’ARS agence régionale de santé.
Le principal grief portait sur l’essai clinique dont j’avais la charge : un grief de fin d’essai en décembre 2014, contesté et estimé à janvier 2014, ce qui est faux ; et un grief portant sur les interventions classiques de correction du genou (ostéotomie, ligament, ménisque) réalisées avant l’implantation des cellules souches, - interventions mixtes -, que les organismes considéraient comme faisant partie de l’essai clinique (qui étudie uniquement les effets des cellules souches), donc à ma charge, ce qui est absurde.
Au final :
J’ai porté plainte contre les anesthésistes qui ont été affublés d’un blâme.
L’Ordre National des médecins à Paris a estimé que j’avais toutes les compétences requises, et a humilié et repoussé la plainte de l’ordre de Marseille et les inspecteurs de l’Ars qui s’étaient, imprudemment car non qualifiés, associés à cette plainte.
L’Assurance maladie de Marseille, par l’acharnement haineux de son médecin conseil chef de service, a pu obtenir à mon encontre une grave sanction dont j’ai fait appel à l’Ordre National des médecins à Paris.
Le verdict est tombé le vendredi 13 octobre 2017 : la sanction a été annulée : tous les principaux griefs ont été annulés ; et l’ordre n’a donc retenu aucune fraude, sanction minimale de principe (8% de la sanction initiale !) uniquement de simples fautes de forme, sans gravité comme une feuille de consentement signée la veille de l’intervention avec délai de réflexion insuffisant (…).
L’assurance maladie de Marseille et son médecin chef ont ainsi été profondément humiliés : l’ordre de Paris a considéré qu’il n’est pas de son autorité de juger un essai clinique, sous la seule responsabilité de l’ANSM.
La plainte de l’ARS, bloquée par l’ordre régional suite à mon action au TA de Marseille contre l’ANSM pour récupérer mon autorisation d’essai clinique, devrait suivre la même voie, car les griefs sont identiques à ceux de la Cpam, et j'espère que le principe de Non bis Idem s'appliquera: on ne juge pas deux fois les même faits.
Je dois cette victoire grâce à l’appui et aux attestations de plusieurs chefs de service d’orthopédie de CHU de France : le professeur Philippe Hernigou (CHU Créteil), Président de la Sofcot (Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique) ; le Professeur Dominique Saragaglia (CHU Grenoble) ; Profs Hernigou et Saragaglia étaient présents à l’audience du conseil national de l’ordre pour me soutenir avec mon avocat : qu’ils en soient ici remerciés de tout cœur.
D’autres professeurs m’ont soutenu par leurs attestations écrites et je les en remercie : Prof Neyret (CHU Lyon) ; Prof De Peretti (CHU Nice) ; Prof Rochwerger (CHU Marseille Nord) ;…
Dans un avenir que j'espère proche, plus rien ne s’opposera au traitement de l’arthrose par thérapie cellulaire.
Je remercie surtout et par-dessus tout, mes patients qui m’ont soutenu jusqu’au bout en m’accordant leur confiance : merci !
La prochaine étape judiciaire est simple : je vais porter plainte au pénal et au tribunal administratif, contre la Cpam Marseille et le médecin chef du service médical, contre l’ARS et contre l’ordre de Marseille. Je ne dormirai pas tant que ces obscurantistes, qui ont contrôlé à charge dans le but (commandé ?) de détruire, ne soient sanctionnés.
Le chemin est enfin plus clair; nous continuons le processus thérapie cellulaire; et la demande d'intégration de ce traitement de l'arthrose par les autorités.
Ceux qui suivent mes blogs savent les procédures judiciaires que j’ai du subir depuis près de 4 ans, à la suite d’un essai clinique de traitement de l’arthrose grave grade 4/4 du genou. Cet essai autorisé par l’ANSM et CPP en 2010, terminé en décembre 2014, a permis de confirmer la régénération du cartilage en implantant les cellules souches mésenchymateuses de moelle osseuse concentrée, sous arthroscopie avec microforages, et après traitement des lésions mécaniques du genou, chez des patients jeunes à bonne performance physique.
Le tout prothèse comme traitement de l’arthrose grave du genou est une période révolue : la thérapie cellulaire permet une baisse de 40% du nombre de prothèses totales du genou implantées, et la prothèse unicompartimentale (Puc) est vouée à disparaître.
Il était donc naturel d’être confronté à de fortes oppositions de la part de mes confrères, avec des lettres de délation organisées par mes anciens anesthésistes (les vers dans le fruit !) et leurs collègues orthopédistes dont certains membres du conseil de l’ordre de Marseille.
Ce dernier a pu ainsi déclencher une avalanche de contrôles : demande d’expertise de mes connaissances par l’ordre national ; contrôle par l’Assurance maladie de Marseille ; et par l’ARS agence régionale de santé.
Le principal grief portait sur l’essai clinique dont j’avais la charge : un grief de fin d’essai en décembre 2014, contesté et estimé à janvier 2014, ce qui est faux ; et un grief portant sur les interventions classiques de correction du genou (ostéotomie, ligament, ménisque) réalisées avant l’implantation des cellules souches, - interventions mixtes -, que les organismes considéraient comme faisant partie de l’essai clinique (qui étudie uniquement les effets des cellules souches), donc à ma charge, ce qui est absurde.
Au final :
J’ai porté plainte contre les anesthésistes qui ont été affublés d’un blâme.
L’Ordre National des médecins à Paris a estimé que j’avais toutes les compétences requises, et a humilié et repoussé la plainte de l’ordre de Marseille et les inspecteurs de l’Ars qui s’étaient, imprudemment car non qualifiés, associés à cette plainte.
L’Assurance maladie de Marseille, par l’acharnement haineux de son médecin conseil chef de service, a pu obtenir à mon encontre une grave sanction dont j’ai fait appel à l’Ordre National des médecins à Paris.
Le verdict est tombé le vendredi 13 octobre 2017 : la sanction a été annulée : tous les principaux griefs ont été annulés ; et l’ordre n’a donc retenu aucune fraude, sanction minimale de principe (8% de la sanction initiale !) uniquement de simples fautes de forme, sans gravité comme une feuille de consentement signée la veille de l’intervention avec délai de réflexion insuffisant (…).
L’assurance maladie de Marseille et son médecin chef ont ainsi été profondément humiliés : l’ordre de Paris a considéré qu’il n’est pas de son autorité de juger un essai clinique, sous la seule responsabilité de l’ANSM.
La plainte de l’ARS, bloquée par l’ordre régional suite à mon action au TA de Marseille contre l’ANSM pour récupérer mon autorisation d’essai clinique, devrait suivre la même voie, car les griefs sont identiques à ceux de la Cpam, et j'espère que le principe de Non bis Idem s'appliquera: on ne juge pas deux fois les même faits.
Je dois cette victoire grâce à l’appui et aux attestations de plusieurs chefs de service d’orthopédie de CHU de France : le professeur Philippe Hernigou (CHU Créteil), Président de la Sofcot (Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique) ; le Professeur Dominique Saragaglia (CHU Grenoble) ; Profs Hernigou et Saragaglia étaient présents à l’audience du conseil national de l’ordre pour me soutenir avec mon avocat : qu’ils en soient ici remerciés de tout cœur.
D’autres professeurs m’ont soutenu par leurs attestations écrites et je les en remercie : Prof Neyret (CHU Lyon) ; Prof De Peretti (CHU Nice) ; Prof Rochwerger (CHU Marseille Nord) ;…
Dans un avenir que j'espère proche, plus rien ne s’opposera au traitement de l’arthrose par thérapie cellulaire.
Je remercie surtout et par-dessus tout, mes patients qui m’ont soutenu jusqu’au bout en m’accordant leur confiance : merci !
La prochaine étape judiciaire est simple : je vais porter plainte au pénal et au tribunal administratif, contre la Cpam Marseille et le médecin chef du service médical, contre l’ARS et contre l’ordre de Marseille. Je ne dormirai pas tant que ces obscurantistes, qui ont contrôlé à charge dans le but (commandé ?) de détruire, ne soient sanctionnés.
Le chemin est enfin plus clair; nous continuons le processus thérapie cellulaire; et la demande d'intégration de ce traitement de l'arthrose par les autorités.
Juillet 2017. Le centre Arthrosport à Marseille www.centrearthrosport.com Lire plus ...
C'est un centre de chirurgie orthopédique spécialisé dans le traitement et la prévention de l'Arthrose en particulier du genou, utilisant les techniques avancées de régénération du cartilage par thérapie cellulaire selon les critères d'inclusion.
Mais c'est aussi un centre de Kinésithérapie et Balnéothérapie, de réhabilitation articulaire post-opératoire, et de préparation à la reprise sportive. D'autres spécialités sont présentes ou attendues: podologue, médecin rééducateur, radiologie.
Nous recherchons des collaborateurs chirurgiens orthopédiques; et des Kinésithérapeutes libéraux.
Appelez au 0611950518 ou 0491231231
Visitez la page professionnelle Facebook, https://www.facebook.com/drmichelassor ; mise à jour des derniers résultats à 7 ans d'interventions conservatrice de régénération cartilage du genou; et témoignages des patients
Mais c'est aussi un centre de Kinésithérapie et Balnéothérapie, de réhabilitation articulaire post-opératoire, et de préparation à la reprise sportive. D'autres spécialités sont présentes ou attendues: podologue, médecin rééducateur, radiologie.
Nous recherchons des collaborateurs chirurgiens orthopédiques; et des Kinésithérapeutes libéraux.
Appelez au 0611950518 ou 0491231231
Visitez la page professionnelle Facebook, https://www.facebook.com/drmichelassor ; mise à jour des derniers résultats à 7 ans d'interventions conservatrice de régénération cartilage du genou; et témoignages des patients
Mai 2017. Prochains projets sur la thérapie cellulaire dans l'arthrose du genou. Lire plus...
Les patients avec arthrose grave grade 4/4 du genou opérés par thérapie cellulaire depuis 2010, ont continués à être suivis jusqu'à présent avec un recul de 7 ans. Avec les critères d'inclusion respectés, 40% de prothèse de genou peuvent être évitées et en particulier toutes les prothèses unicompartimentale PUC du genou, qui ont les même indications que ces techniques de thérapie cellulaire seront abandonnées à terme.
Un article scientifique est en cours d'écriture avec la collaboration d'un statisticien, qui sera, après publication, soumis à la HAS haute autorité de santé, pour validation de la technique.
Un 2è article est en cours de préparation sur les résultats de la greffe d'implant de ménisque dans l'arthrose grade 4 du genou. La plupart des poseur d'implants méniscaux considèrent l'arthrose grade 4 du genou comme une contre indication ; hors je ne la pose que dans l'arthrose grade 4 du genou, ayant l'expérience de la régénération du cartilage que cet implant protège à terme.
Un article scientifique est en cours d'écriture avec la collaboration d'un statisticien, qui sera, après publication, soumis à la HAS haute autorité de santé, pour validation de la technique.
Un 2è article est en cours de préparation sur les résultats de la greffe d'implant de ménisque dans l'arthrose grade 4 du genou. La plupart des poseur d'implants méniscaux considèrent l'arthrose grade 4 du genou comme une contre indication ; hors je ne la pose que dans l'arthrose grade 4 du genou, ayant l'expérience de la régénération du cartilage que cet implant protège à terme.
Mai 2017. Le point sur la thérapie cellulaire de croissance du cartilage dans l'arthrose du genou 7 ans après son début: incidence de 40% de diminution de pose de prothèse. Lire plus...
Depuis l'autorisation de l'essai clinique en 2010 (par ANSM et CPP) d'utilisation de cellules souches mésenchymateuses de moelle osseuse concentrée pour réparer et régénérer la croissance de cartilage dans l'arthrose grave du genou, selon les critères d'inclusion, et après restauration de la biomécanique du genou (réparation des trois lésions: de désaxation, d'instabilité ligamentaire et des pertes méniscales), et sa suspension provisoire en décembre 2014, 7 années ont passé.
Mais presque 3 années ont été perdues par des procédures judiciaires initiées par des lettres de délation de concurrents locaux, et qui sont, avec le recul, des tentatives de stopper ces recherches et ces nouvelles thérapies qui sont le futur de l'orthopédie, utilisées de plus en plus par de nouvelles équipes dans le monde, et que l'on ne peut plus ignorer sans craindre d'avoir une génération de retard.
Trois années perdues donc, par trois procédures épuisantes qu'il fallait affronter par la production de dizaines de mémoire en défense.
Il y a d'abord eu la demande par le conseil de l'ordre local (où siègent mes principaux concurrents) d'expertise de mes compétences; demande qui s'est soldée par la reconnaissance par l'ordre national, de mes compétences techniques, de mes connaissances, de mes recherches et communications scientifiques: je savais que j'étais bon chirurgien, mais je ne boude pas mon plaisir de savoir que cela est officiellement reconnu...
Il y a eu ensuite l'action de l'ARS locale (agence régionale de santé), dont un membre fait partie du conseil de l'ordre local, qui a tenté de criminaliser la poursuite de l'essai en 2014 qu'elle juge non autorisée, ce qui est contraire à la réalité (la phase 2 a été autorisée; fin de la phase 2a en janvier 2014; poursuite de la phase 2b en 2014 sans nécessité d'autorisation); une requête contre l'ANSM a donc été déposée au tribunal administratif de Marseille pour abus de pouvoir, et pour récupérer mon autorisation de l'essai. La procédure de l'ARS a donc été bloquée.
La 3è procédure concerne l'action à mon endroit de l'assurance maladie Marseille (à la demande de l'ordre et de l'ARS...), et voila comment 3 institutions intrinsèquement liés peuvent créer de façon collégiale un dossier à charge sans charge pour stopper ces recherches. Leurs griefs principaux concernent encore mon essai clinique (pourtant sous l'autorité de l'ANSM seule), et en particulier les actes mixtes, ou actes sur le genou, comme une ostéotomie, réalisés avant l'implantation des cellules souches, et que la sécurité sociale considère comme faisant partie de l'essai clinique, donc à ma charge de promoteur de l'essai, alors qu'il s'agit d'interventions que l'on réalise depuis des décennies. C'est le théâtre de l'absurde. J'ai heureusement l'appui de 7 chefs de service d'orthopédie de CHU de France, dont le président de notre société savante la Sofcot (attestations et soutiens aux audiences). Il est clair qu'ils ne s'impliqueraient pas si un quelconque délit avait été commis. J'y reviendrai sur les résultats après l'été 2017.
Place aux projets dans le post suivant.
Mais presque 3 années ont été perdues par des procédures judiciaires initiées par des lettres de délation de concurrents locaux, et qui sont, avec le recul, des tentatives de stopper ces recherches et ces nouvelles thérapies qui sont le futur de l'orthopédie, utilisées de plus en plus par de nouvelles équipes dans le monde, et que l'on ne peut plus ignorer sans craindre d'avoir une génération de retard.
Trois années perdues donc, par trois procédures épuisantes qu'il fallait affronter par la production de dizaines de mémoire en défense.
Il y a d'abord eu la demande par le conseil de l'ordre local (où siègent mes principaux concurrents) d'expertise de mes compétences; demande qui s'est soldée par la reconnaissance par l'ordre national, de mes compétences techniques, de mes connaissances, de mes recherches et communications scientifiques: je savais que j'étais bon chirurgien, mais je ne boude pas mon plaisir de savoir que cela est officiellement reconnu...
Il y a eu ensuite l'action de l'ARS locale (agence régionale de santé), dont un membre fait partie du conseil de l'ordre local, qui a tenté de criminaliser la poursuite de l'essai en 2014 qu'elle juge non autorisée, ce qui est contraire à la réalité (la phase 2 a été autorisée; fin de la phase 2a en janvier 2014; poursuite de la phase 2b en 2014 sans nécessité d'autorisation); une requête contre l'ANSM a donc été déposée au tribunal administratif de Marseille pour abus de pouvoir, et pour récupérer mon autorisation de l'essai. La procédure de l'ARS a donc été bloquée.
La 3è procédure concerne l'action à mon endroit de l'assurance maladie Marseille (à la demande de l'ordre et de l'ARS...), et voila comment 3 institutions intrinsèquement liés peuvent créer de façon collégiale un dossier à charge sans charge pour stopper ces recherches. Leurs griefs principaux concernent encore mon essai clinique (pourtant sous l'autorité de l'ANSM seule), et en particulier les actes mixtes, ou actes sur le genou, comme une ostéotomie, réalisés avant l'implantation des cellules souches, et que la sécurité sociale considère comme faisant partie de l'essai clinique, donc à ma charge de promoteur de l'essai, alors qu'il s'agit d'interventions que l'on réalise depuis des décennies. C'est le théâtre de l'absurde. J'ai heureusement l'appui de 7 chefs de service d'orthopédie de CHU de France, dont le président de notre société savante la Sofcot (attestations et soutiens aux audiences). Il est clair qu'ils ne s'impliqueraient pas si un quelconque délit avait été commis. J'y reviendrai sur les résultats après l'été 2017.
Place aux projets dans le post suivant.
Octobre 2016. La greffe de ménisque dans l'arthrose grade 4 du genou avec perte du capital méniscal (plus de 50%)....
Le traitement de base de l'arthrose grade 4 du genou se fait sous arthroscopie, avec débridement des lésions intra articulaires méniscales, raideur rotulienne par libération latérale, arthrolyse si raideur, résection des ostéophytes, et les microforages multiples et rapprochées des zones de défects, réalisées à la mèche ou fraise boule motorisée; puis injection sur gélatine hémostatique d'activateurs cellulaires, qui peuvent aussi être injectés en 2è temps sous anesthésie locale.
Il sera nécessaire d'associer à l'arthroscopie, une ostéotomie de réaxation du genou s'il existe une déformation axiale (varus ou valgus) important de plus de 5-6°, ostéotomie de valgisation tibiale si varus, ou varisation fémorale si valgus.
De même, une reconstruction du ligament croisé antérieur LCA (plus rarement postérieur) sera réalisée, parfois ostéotomie et reconstruction du LCA en même temps.
Le troisième cap a été franchi avec succès il y a déjà quelques années, en utilisant la greffe de ménisque de type implant méniscal Actifit, implant en polyuréthane réhabilitable en cartilage (non encore remboursé à ce jour), dans le cas de perte de plus des 2/3 du ménisque (ancienne chirurgie extensive), sur les arthrose grade 4, et parfois elle-même associée à une ostéotomie ou une reconstruction du LCA.
Voici un film sur Youtube, d'arthroscopie de greffe de ménisque externe sur arthrose fémorotibiale externe grade 4, avec microforages et thérapie plaquettes concentrées Prp sur gélatine hémostatique.
https://youtu.be/zXQPcYh1vNY
Il sera nécessaire d'associer à l'arthroscopie, une ostéotomie de réaxation du genou s'il existe une déformation axiale (varus ou valgus) important de plus de 5-6°, ostéotomie de valgisation tibiale si varus, ou varisation fémorale si valgus.
De même, une reconstruction du ligament croisé antérieur LCA (plus rarement postérieur) sera réalisée, parfois ostéotomie et reconstruction du LCA en même temps.
Le troisième cap a été franchi avec succès il y a déjà quelques années, en utilisant la greffe de ménisque de type implant méniscal Actifit, implant en polyuréthane réhabilitable en cartilage (non encore remboursé à ce jour), dans le cas de perte de plus des 2/3 du ménisque (ancienne chirurgie extensive), sur les arthrose grade 4, et parfois elle-même associée à une ostéotomie ou une reconstruction du LCA.
Voici un film sur Youtube, d'arthroscopie de greffe de ménisque externe sur arthrose fémorotibiale externe grade 4, avec microforages et thérapie plaquettes concentrées Prp sur gélatine hémostatique.
https://youtu.be/zXQPcYh1vNY
Avec les résultats post-opératoires des patients, les forums, avis, commentaires et suivi de l'évolution des patients.
N'hésitez pas à faire partager votre expérience post-opératoire et j'espère, la reprise de votre activité courante et sportive. Il m'est agréable, pour ceux avec arthrose grave grade 4/4, d'avoir un film de votre reprise sportive à publier.
N'hésitez pas à faire partager votre expérience post-opératoire et j'espère, la reprise de votre activité courante et sportive. Il m'est agréable, pour ceux avec arthrose grave grade 4/4, d'avoir un film de votre reprise sportive à publier.
Septembre-Octobre 2016. On ne secoue que l'arbre fruitier...
Depuis les premiers cas d’un des premiers essais cliniques, débuté en juillet 2010 après autorisation de la phase 2 par l’ANSM (agence national de sécurité du médicament), et le CPP ( comité de protection des personnes), d’utilisation, dans l’arthrose grave du genou, de cellules souches mésenchymateuses de moelle osseuse centrifugée, et utilisées après activation en un temps et sans culture, -à partir de travaux pré-clinique animaux en partenariat avec le professeur Slavin (Israel) -, plus de 6 années ont passé.
La régénération de cartilage par thérapie cellulaire, selon la technique décrite dans mon protocole de recherche, s’est progressivement imposée comme un des traitements de l’arthrose : l’arbre a pris racine, et a porté ses fruits, avec la confirmation de ses bons résultats statistiques, pourvu que les critères d’inclusion soient respectés, et publiés en congrès Sofcot en 2013 et 2014.
Ces résultats ont été transmis à l’ANSM, et cette technique ne peut plus être considérée comme expérimentale, se développant dans plusieurs pays.
Le tout prothèse comme traitement de l’arthrose grave (grade 4/4) du genou (et à moyen terme les autres articulations) est une période révolue : on considère qu’avec la thérapie cellulaire associée à la réparation des lésions mécaniques du genou, on observe une baisse de 30 à 40% du nombre de prothèses implantées, -mon expérience personnelle -, tant pour la prothèse unicompartimentale (Puc) qui a les mêmes indications que la thérapie cellulaire et qui est vouée à disparaître, que pour la prothèse totale notamment chez le patient jeune et à bonne performance physique.
Il était donc naturel d’être confronté à de fortes oppositions de mes confrères par des lettres de délation, qui ont déclenché des contrôles conjoints de plusieurs organismes, et les procédures sont toujours en cours, et dont j’aurais l’occasion de les détailler.
Il est intéressant de savoir que quelques équipes en France ont repris ma technique décrite dans les publications, en utilisant les cellules souches sans aucune autorisation de l’ANSM, alors qu’elles sont considérées comme des médicaments de thérapie innovante : leur utilisation est interdite et soumise à autorisation impérative, et ces chirurgiens ne se rendent pas compte de l’illégalité de leurs gestes.
Il est important de savoir aussi que plusieurs grands patrons me soutiennent dans ce combat par leurs attestations.
Un mot pour mes confrères : mercie de me soutenir ! Ces griefs que l’on me reproche, mettent en jeu directement votre activité chirurgicale quotidienne.
La régénération de cartilage par thérapie cellulaire, selon la technique décrite dans mon protocole de recherche, s’est progressivement imposée comme un des traitements de l’arthrose : l’arbre a pris racine, et a porté ses fruits, avec la confirmation de ses bons résultats statistiques, pourvu que les critères d’inclusion soient respectés, et publiés en congrès Sofcot en 2013 et 2014.
Ces résultats ont été transmis à l’ANSM, et cette technique ne peut plus être considérée comme expérimentale, se développant dans plusieurs pays.
Le tout prothèse comme traitement de l’arthrose grave (grade 4/4) du genou (et à moyen terme les autres articulations) est une période révolue : on considère qu’avec la thérapie cellulaire associée à la réparation des lésions mécaniques du genou, on observe une baisse de 30 à 40% du nombre de prothèses implantées, -mon expérience personnelle -, tant pour la prothèse unicompartimentale (Puc) qui a les mêmes indications que la thérapie cellulaire et qui est vouée à disparaître, que pour la prothèse totale notamment chez le patient jeune et à bonne performance physique.
Il était donc naturel d’être confronté à de fortes oppositions de mes confrères par des lettres de délation, qui ont déclenché des contrôles conjoints de plusieurs organismes, et les procédures sont toujours en cours, et dont j’aurais l’occasion de les détailler.
Il est intéressant de savoir que quelques équipes en France ont repris ma technique décrite dans les publications, en utilisant les cellules souches sans aucune autorisation de l’ANSM, alors qu’elles sont considérées comme des médicaments de thérapie innovante : leur utilisation est interdite et soumise à autorisation impérative, et ces chirurgiens ne se rendent pas compte de l’illégalité de leurs gestes.
Il est important de savoir aussi que plusieurs grands patrons me soutiennent dans ce combat par leurs attestations.
Un mot pour mes confrères : mercie de me soutenir ! Ces griefs que l’on me reproche, mettent en jeu directement votre activité chirurgicale quotidienne.
Avril-mai 2016. Visitez aussi la page professionnelle Facebook
à l'adresse https://www.facebook.com/drmichelassor
avec des publications régulières des résultats du traitement conservateur de l'arthrose grade 4/4 du genou, et un forum de patients plus convivial que sur ce site officiel
avec des publications régulières des résultats du traitement conservateur de l'arthrose grade 4/4 du genou, et un forum de patients plus convivial que sur ce site officiel
Février 2016. Collaboration avec un laboratoire de thérapie cellulaire
Les choses s'activent, après une parenthèse de gestion administrative. Un accord formel a été signé avec un grand laboratoire de thérapie cellulaire, et le protocole de recherche de régénération de l'arthrose par implantation de cellules souches mésenchymateuses avec plaquettes concentrées est en cours de mise en forme et sera déposé je l'espère avant l'été. Le promoteur sera ce laboratoire, et supportera (à son tour ..) les contraintes administratives avec les autorités; et j'en serai l'investigateur chirurgien.
Il est possible que des associations avec d'autres chirurgiens d'autres centres soient recherchées, en respectant les conditions et les contraintes techniques chirurgicales. Actuellement, le même protocole se poursuit en deux phases et avec les plaquettes concentrées, comme déjà détaillé.
Pour les patients opérés, écrivez vos résultats sur la fonction articulaire, vie quotidienne et vie sportive, à 1 an post-opératoire, sur le site https://www.facebook.com/drmichelassor
#arthrosegenou
Il est possible que des associations avec d'autres chirurgiens d'autres centres soient recherchées, en respectant les conditions et les contraintes techniques chirurgicales. Actuellement, le même protocole se poursuit en deux phases et avec les plaquettes concentrées, comme déjà détaillé.
Pour les patients opérés, écrivez vos résultats sur la fonction articulaire, vie quotidienne et vie sportive, à 1 an post-opératoire, sur le site https://www.facebook.com/drmichelassor
#arthrosegenou
Février 2016. Un long silence...
Pas de post ou d'impression depuis 5 mois. Je l'ai parfois écrit sans les détailler, j'ai eu à subir depuis 1,5 ans une sorte d'actions concertées entre différents organismes, - conseil de l'ordre, Ansm, agence régionale d'hospitalisation Ars (rien que cela!), assurance maladie -, qui ont contrôlé la gestion de l'essai clinique (terminée au 15 décembre 2014). Des griefs administratifs ubuesques ont été reprochés. D'une part, une poursuite de l'essai (débuté en 2010) en janvier 2014 comme prévu avec un plus grand nombre de patients et après avoir déclaré sa poursuite, avec quiproquo administratif avec l'autorité soutenant qu'il fallait une nouvelle autorisation, ce qui est faux selon les documents.
D'autre part, un conflit avec l'assurance maladie qui pense que les interventions de réparations des lésions du genou, - critères d'exclusions - ,comme l'ostéotomie ou l'arthroscopie, font partie de l'essai clinique, alors que la recherche concerne uniquement l'implantation de cellules souches de moelle osseuse: elle demande donc que ces interventions soient à la charge du promoteur (donc moi), et même les frais de transport des patients... Ubuesque.
J'ai donc du assigner au tribunal administratif l'Ansm pour les obliger à reconnaître la poursuite de l'essai en 2014 et sa fin en décembre 2014. L'assurance maladie est elle aussi assignée avec désignation d'un groupe d'experts judiciaires.
Heureusement, j'ai le soutien de mes patients; j'ai aussi le soutien écrit de plusieurs grands patrons chefs de service; ceci devrait progressivement bien se terminer.
Tout a commencé par des lettres de délations de confrères jaloux envoyées au conseil de l'ordre et à l'Ars, qui a diligenté un contrôle, cette dernière ayant poussé l'assurance maladie à faire de même...
Les précurseurs ont toujours tort... au début.
Visitez sur https://www.facebook.com/drmichelassor
les résultats d'interventions sur l'arthrose du genou
#arthrosegenou
D'autre part, un conflit avec l'assurance maladie qui pense que les interventions de réparations des lésions du genou, - critères d'exclusions - ,comme l'ostéotomie ou l'arthroscopie, font partie de l'essai clinique, alors que la recherche concerne uniquement l'implantation de cellules souches de moelle osseuse: elle demande donc que ces interventions soient à la charge du promoteur (donc moi), et même les frais de transport des patients... Ubuesque.
J'ai donc du assigner au tribunal administratif l'Ansm pour les obliger à reconnaître la poursuite de l'essai en 2014 et sa fin en décembre 2014. L'assurance maladie est elle aussi assignée avec désignation d'un groupe d'experts judiciaires.
Heureusement, j'ai le soutien de mes patients; j'ai aussi le soutien écrit de plusieurs grands patrons chefs de service; ceci devrait progressivement bien se terminer.
Tout a commencé par des lettres de délations de confrères jaloux envoyées au conseil de l'ordre et à l'Ars, qui a diligenté un contrôle, cette dernière ayant poussé l'assurance maladie à faire de même...
Les précurseurs ont toujours tort... au début.
Visitez sur https://www.facebook.com/drmichelassor
les résultats d'interventions sur l'arthrose du genou
#arthrosegenou
Octobre 2015. Le point
Le nouveau protocole de recherche biomédicale 2è partie ou phase IIB sera enfin bientôt déposé, selon les nouvelles règles européennes de thérapie innovantes appliquées aux cellules souches. Une modification amélioration de la technique est envisagée. La première phase IIA a été officiellement terminée le 15 décembre 2014, et les résultats statistiques préliminaires par un bio-statisticien seront publiés au cours de 2016.
De nouvelles images et films de reconstruction régénération de cartilage à partir de l'arthrose défect complet de cartilage en miroir et contact os-os, avec implantation de cellules souches ont été présentées sur le site https://www.facebook.com/drmichelassor
à visiter!!
Bonne lecture
#arthrosegenou
#arthrosecellulesouches
De nouvelles images et films de reconstruction régénération de cartilage à partir de l'arthrose défect complet de cartilage en miroir et contact os-os, avec implantation de cellules souches ont été présentées sur le site https://www.facebook.com/drmichelassor
à visiter!!
Bonne lecture
#arthrosegenou
#arthrosecellulesouches
Eté 2015. Nouvelles informations sur le site Facebook professionnel
De nouvelles informations sur la thérapie cellulaire, et de nouveaux résultats d'imagerie et de photos opératoires de la thérapie cellulaire dans l'arthrose du genou grade 4/4 , ont été publiés sur Facebook pro, qui est associé à ce site central.
https://www.facebook.com/drmichelassor?ref=aymt_homepage_panel
Bonne lecture et bonnes vacances
#arthrosedugenou
#cellulessouches
https://www.facebook.com/drmichelassor?ref=aymt_homepage_panel
Bonne lecture et bonnes vacances
#arthrosedugenou
#cellulessouches
Printemps 2015: Réduction de moitié du nombre de prothèses de genou avec la thérapie cellulaire cellules souches. Lire ...
Mi - 2015: Réduction de moitié du nombre de prothèses de genou avec la thérapie cellulaire cellules souches ...
C'est le bilan de près de 4 ans de thérapie cellulaire dans le traitement de régénération de cartilage de l'arthrose grade 4/4 du genou au stade prothétique. J'ai ainsi réduit mon nombre annuel de prothèses de genou de 40 à 50%, en ciblant les inclusions à la thérapie cellulaire, et en évitant les poses inutiles, notamment dans l'arthrose rotulienne, ou dans les défects de petite taille.
Selon un article paru aux Usa en 2014, -- lien: One Third of Knee Replacements Classified as Inappropriate , Daniel L. Riddle, William A. Jiranek, Curtis W. Hayes. Using a validated algorithm to judge the appropriateness of total knee arthroplasty in the United States: A multi-center longitudinal cohort study. Arthritis & Rheumatology, 2014; DOI: 10.1002/art.38685 -- un tiers des six cent milles prothèses posées chaque année était inutile!
Ce fait, couplé au traitement de l'arthrose du genou par thérapie cellulaire, qui fera partie nécessairement à moyen terme du traitement de l'arthrose, fera chuté dans les 5 prochaines années, de façon drastique, le nombre de prothèses du genou.
Ceci dérange beaucoup de monde, doit faire réfléchir le patient; et explique les divers contrôles subis cette année...
La prothèse de genou - j'utilise une prothèse sans ciment, à plateau rotatoire, sous incision minimale mid-vastus, avec collagène antibiotique local, lire www.arthrosport.com - est irremplaçable dans les arthroses terminales, avec destruction articulaire extensive, chez le patient âgé, ne pouvant supporter les contraintes de la thérapie cellulaire et la nécessité si présentes, de traiter au préalable les lésions mécaniques du genou comme une désaxation (par ostéotomie), une instabilité (par greffe ligamentaire), une perte du ménisque (par greffe de ménisque).
Le respect des critères d'inclusion est fondamental pour la réussite de la thérapie cellulaire et une croissance pérenne du néo-cartilage recouvrant le défect arthrosique.
Finalement mon souci principal est de ne pas me tromper d'indication, et de proposer au patient avec arthrose terminale grade 4/4, le bon traitement, celui qui lui est le mieux adapté:
ou thérapie cellulaire, ou prothèse de genou.
#arthrosegenou
#cellulessouches
Mars 2015. Le traitement régénération du cartilage continue en 2 phases
Selon les critères d'inclusion (lire par ailleurs), le traitement de régénération de cartilage dans l'arthrose défect grade 4/4 du genou se poursuit en 2 phases: réparation des lésions mécaniques (correction d'une désaxation par ostéotomie, reconstruction ligament croisé, greffe méniscale, ...), et préparation réparation articulaire du genou par arthroscopie avec microforages des zones arthrosiques, éventuellement libération rotulienne, puis injection de plaquettes hautement concentrées sur éponge hémostatique. En 2è phase, dans les 3-4 mois suivants, dès autorisation ou dans une ville frontalière, et si nécessaire (selon clinique et IRM), injection de cellules souches sous anesthésie locale, en ambulatoire, sur genou préalablement préparé.
Janvier-Février 2015
Nouveau protocole en cours de dépôt
Nouveau protocole en cours de dépôt
La phase 2b et l'utilisation des cellules souches a été suspendue depuis décembre 2014, à la suite de la réponse de l'Ansm (agence nationale de sécurité du médicament), me demandant le dépôt d'un nouveau protocole selon la réglementation actuelle.
Ma phase pilote ou phase 2, autorisée en 2010 par l'Ansm et les Cpp (comité de protection des personnes), se divise en phase 2a (de recherche de l'efficacité) et phase 2b (de confirmation de l'efficacité).
La poursuite de la phase pilote en phase 2b (sur 350 patients) a été déclarée dès janvier 2014 à l'Ansm et le Cpp, à la suite de la fin de la phase 2a (sur 50 patients). Si le Cpp a enregistré la fin de la phase 2a et accepté la poursuite en phase 2b, l'Ansm a enregistré par erreur la fin de l'essai lui-même -alors que l'on n'en était qu'au début -, au lieu de fin de la phase 2a, et demandé un nouveau protocole en décembre 2014: il était juridiquement trop tard pour inverser l'erreur.
Un nouveau protocole est donc en cours de dépôt.
La réglementation actuelle est d'interprétation divergente selon les biologistes.
Pour les uns, dont je partage l'avis, seules les cellules souches mésenchymateuses Csm (isolées de la moelle osseuse ou tissus graisseux) mélangées avec d'autres produits (comme des protéines) ou en culture, sont des médicaments de thérapie innovante (advanced therapy), à l'inverse de celles isolées, sans mélange, et directement implantée dans le genou (ou autres articulations), qui ne sont pas des médicaments.
Pour les autres, les cellules souches mésenchymateuses sont des médicaments, isolées et sans mélange avec d'autre produit, ou non.
Nous avons demandé à l'Agence Européenne de Médecine (EMA) de trancher, ainsi qu'à l'Ansm.
Notre protocole actuel en cours de dépôt intègre les cellules souches mésenchymateuses isolées sans mélange et directement implantées dans l'articulation -nous n'utilisons plus de mélange depuis plusieurs années-, et en théorie hors médicament, en attendant les décisions des autorités.
Nous poursuivons le traitement de régénération de l'arthrose du genou selon les critères d'inclusion et grade de l'arthrose, en traitant les lésions mécaniques (ostéotomie si désaxation, reconstruction ligamentaire si instabilité, greffe ménisque si perte extensive de plus des 2/3 du ménisque), et en utilisant des plaquettes concentrées de sang (PRP ou plasma riche plaquettes, sous forme liquide et/ou gélifiée) après préparation arthroscopique et microforages (ou microfractures) des zones arthrosiques.
Ma phase pilote ou phase 2, autorisée en 2010 par l'Ansm et les Cpp (comité de protection des personnes), se divise en phase 2a (de recherche de l'efficacité) et phase 2b (de confirmation de l'efficacité).
La poursuite de la phase pilote en phase 2b (sur 350 patients) a été déclarée dès janvier 2014 à l'Ansm et le Cpp, à la suite de la fin de la phase 2a (sur 50 patients). Si le Cpp a enregistré la fin de la phase 2a et accepté la poursuite en phase 2b, l'Ansm a enregistré par erreur la fin de l'essai lui-même -alors que l'on n'en était qu'au début -, au lieu de fin de la phase 2a, et demandé un nouveau protocole en décembre 2014: il était juridiquement trop tard pour inverser l'erreur.
Un nouveau protocole est donc en cours de dépôt.
La réglementation actuelle est d'interprétation divergente selon les biologistes.
Pour les uns, dont je partage l'avis, seules les cellules souches mésenchymateuses Csm (isolées de la moelle osseuse ou tissus graisseux) mélangées avec d'autres produits (comme des protéines) ou en culture, sont des médicaments de thérapie innovante (advanced therapy), à l'inverse de celles isolées, sans mélange, et directement implantée dans le genou (ou autres articulations), qui ne sont pas des médicaments.
Pour les autres, les cellules souches mésenchymateuses sont des médicaments, isolées et sans mélange avec d'autre produit, ou non.
Nous avons demandé à l'Agence Européenne de Médecine (EMA) de trancher, ainsi qu'à l'Ansm.
Notre protocole actuel en cours de dépôt intègre les cellules souches mésenchymateuses isolées sans mélange et directement implantées dans l'articulation -nous n'utilisons plus de mélange depuis plusieurs années-, et en théorie hors médicament, en attendant les décisions des autorités.
Nous poursuivons le traitement de régénération de l'arthrose du genou selon les critères d'inclusion et grade de l'arthrose, en traitant les lésions mécaniques (ostéotomie si désaxation, reconstruction ligamentaire si instabilité, greffe ménisque si perte extensive de plus des 2/3 du ménisque), et en utilisant des plaquettes concentrées de sang (PRP ou plasma riche plaquettes, sous forme liquide et/ou gélifiée) après préparation arthroscopique et microforages (ou microfractures) des zones arthrosiques.
Décembre 2014. Nouvelle réglementation européenne concernant l'utilisation des cellules souches mésenchymateuses
Une réglementation européenne récente considère les cellules souches mésenchymateuses comme des médicaments: médicament thérapie innovante à préparation ponctuelle MTI-PP. Cette réglementation applicable à toute l'Europe, et en France, fait que l'ANSM nous impose de déposer un nouveau protocole de recherche médicale pour la phase 2b -la phase 2a étant terminée et publiée -, et en collaboration avec un laboratoire de thérapie cellulaire, pour mettre en oeuvre un kit de préparation et d'implantation cellulaire dont la technique opératoire serait reproductible entre les chirurgiens orthopédistes.
Un contrat de collaboration vient d'être signé avec un laboratoire à dimension internationale: j'espère qu'il sera fructueux et nous permettra de déposer rapidement un nouveau protocole selon les nouvelles règles, avant une autorisation de mise sur le marché.
La communication de novembre 2014 à la Sofcot : arthrose genou et cellules souches: peut-on éviter la prothèse partielle?, vient d'être publiée sur le site: bonne lecture
Un contrat de collaboration vient d'être signé avec un laboratoire à dimension internationale: j'espère qu'il sera fructueux et nous permettra de déposer rapidement un nouveau protocole selon les nouvelles règles, avant une autorisation de mise sur le marché.
La communication de novembre 2014 à la Sofcot : arthrose genou et cellules souches: peut-on éviter la prothèse partielle?, vient d'être publiée sur le site: bonne lecture
Novembre 2014. Principes anatomiques de base de la reconstruction du cartilage
Le principe de base de la repousse de cartilage dans l'arthrose grade 4/4 avec disparition de cartilage, est la réalisation de fins microforages ou puits (de 1,5 à 2mm, profondeur 10mm) tous les 2mm (avec moteur et mèche ou fraise boule), et l'apport des cellules souches. Ces dernières vont permettre, par leur multiplication en cellules osseuses ou cartilagineuses (chondrocytes) selon le manque à combler, et la sécrétion de facteurs de croissance, de créer du cartilage comblant ces puits, s'y accrochant (++), et formant un dôme qui va rejoindre les autres dômes et recouvrir toute la zone arthrosique, en 4 mois en moyenne. La surface est fine au début, puis épaississement sur 12 mois ou plus.
Voici un exemple clair d'images IRM (en couleur flow) et arthroscanner, mis en ligne sur Facebook, d'un patient de 46 ans, qui a repris son activité sportive normale; nouveau cartilage en bleue dans la dernière diapo; adresse Facebook:
Voici un exemple clair d'images IRM (en couleur flow) et arthroscanner, mis en ligne sur Facebook, d'un patient de 46 ans, qui a repris son activité sportive normale; nouveau cartilage en bleue dans la dernière diapo; adresse Facebook:
Septembre 2014
Eviter la prothèse du genou dans l'arthrose grave grade 4/4 est possible dans les critères d'inclusion
Eviter la prothèse du genou dans l'arthrose grave grade 4/4 est possible dans les critères d'inclusion
Ce sera le thème de la communication scientifique acceptée en novembre 2014 à la Sofcot société française de chirurgie orthopédique et traumatologique, au Palais des congrès à Paris: pour ceux qui veulent participer à la conférence, ce sera le mardi 11/11/2014 entre 8h et 10h.
Selon les critères d'inclusion, bonne performance physique et de moins de 75 ans, sans pathologie médicale, et perte de cartilage de moins de 6cm2 pour chaque surface articulaire (avec lésions en miroir), la zone de défect chondral condyle et/ou tibia est traitée sous arthroscopie par microforages de 1,5mm tous les 2 mm, au moteur, avec traitement des lésions articulaires trouvées (résection des ostéophytes, polissage méniscal (pas de résection!), et si présence d'une arthrose rotulienne, libération latérale de la rotule avec glissement du tendon rotulien.
La moelle osseuse a été préalablement aspirée avant l'arthroscopie, filtrée et centrifugée pendant le temps arthroscopique; puis on recueille les 10 cc de cellules mononucléées, contenant les cellules souches mésenchymateuses, que l'on active avec des facteurs de croissances Bmp, puis mélangées dans un scaffold à base de gélatine, transportant les cellules souches. L'implantation se fait sous pression contre les microforages.
Il faut de plus et au préalable avoir traiter les lésions mécaniques du genou: s'il existe une désaxation en varus ou valgus de plus de 6°: ostéotomie préalable; si instabilité ligamentaire (ligament croisé souvent): reconstruction du ligament; parfois greffe de ménisque si perte importante de plus des 2/3 du ménisque.
Les frontières se bousculent: je n'ai plus d'hésitation à reconstruire un ligament croisé antérieur à 60 ou 65 ans, si la personne est sportive: intervention réputée provoquant l'arthrose, mais comme je sais la guérir, la boucle est bouclée...
Idem pour la greffe de ménisque à 60 ans chez le sportif, alors que l'âge limite est classiquement de 40 ans; même chose pour l'ostéotomie que je pratique aussi à 60, 65 ans, 70ans, parfois jusqu'à 75 ans, si la personne est de grande performance physique.
Les frontières classique de l'orthopédie reculent: nous ne somme plus dans l'aventure, ou dans le futur: cela devient une chirurgie réglée qui fait partie de mon quotidien.
La phase pliote IIa est terminée avec ses 50 patients; nous continuons la même phase en IIb de confirmation de l'efficacité, avec plusieurs centaines de patients.
Selon les critères d'inclusion, bonne performance physique et de moins de 75 ans, sans pathologie médicale, et perte de cartilage de moins de 6cm2 pour chaque surface articulaire (avec lésions en miroir), la zone de défect chondral condyle et/ou tibia est traitée sous arthroscopie par microforages de 1,5mm tous les 2 mm, au moteur, avec traitement des lésions articulaires trouvées (résection des ostéophytes, polissage méniscal (pas de résection!), et si présence d'une arthrose rotulienne, libération latérale de la rotule avec glissement du tendon rotulien.
La moelle osseuse a été préalablement aspirée avant l'arthroscopie, filtrée et centrifugée pendant le temps arthroscopique; puis on recueille les 10 cc de cellules mononucléées, contenant les cellules souches mésenchymateuses, que l'on active avec des facteurs de croissances Bmp, puis mélangées dans un scaffold à base de gélatine, transportant les cellules souches. L'implantation se fait sous pression contre les microforages.
Il faut de plus et au préalable avoir traiter les lésions mécaniques du genou: s'il existe une désaxation en varus ou valgus de plus de 6°: ostéotomie préalable; si instabilité ligamentaire (ligament croisé souvent): reconstruction du ligament; parfois greffe de ménisque si perte importante de plus des 2/3 du ménisque.
Les frontières se bousculent: je n'ai plus d'hésitation à reconstruire un ligament croisé antérieur à 60 ou 65 ans, si la personne est sportive: intervention réputée provoquant l'arthrose, mais comme je sais la guérir, la boucle est bouclée...
Idem pour la greffe de ménisque à 60 ans chez le sportif, alors que l'âge limite est classiquement de 40 ans; même chose pour l'ostéotomie que je pratique aussi à 60, 65 ans, 70ans, parfois jusqu'à 75 ans, si la personne est de grande performance physique.
Les frontières classique de l'orthopédie reculent: nous ne somme plus dans l'aventure, ou dans le futur: cela devient une chirurgie réglée qui fait partie de mon quotidien.
La phase pliote IIa est terminée avec ses 50 patients; nous continuons la même phase en IIb de confirmation de l'efficacité, avec plusieurs centaines de patients.
Avril 2014. Arthrose grave du genou et greffe de cellules souches mésenchymateuses:
le futur est en cours
le futur est en cours
Bientôt 4 ans d'expérience de thérapie cellulaire par greffe sous arthroscopie de cellules souches mésenchymateuses de moelle osseuse, activées par des BMP (bone morphométric protein), sans culture et en un seul temps opératoire, pour traiter les arthroses graves grade 4/4 (avec disparition du cartilage) du genou, normalement d'indication de prothèse partielle (parfois totale) du genou.
La communication officielle des résultats préliminaires en novembre 2013 au congrès de la Sofcot publiée sur ce site, a montré des résultats favorables avec repousse et bonne tenue du nouveau cartilage dans plus de 93% des cas. Les indications sont bien ciblées, adulte à bonne performance physique, et arthrose évoluée au stade terminale, touchant à la fois condyle et tibia (kiss lésion) d'un seul coté (interne ou externe), avec ou sans lésion rotulienne. Les lésions mécaniques doivent être corrigées dans le même temps (ostéotomie si désaxation de plus de 6°, reconstruction du ligament croisé si instabilité, réparation ou greffe de ménisque si absence. Performance physique, et âge aussi, jusqu'à 70 ans, et certaines personnes particulièrement bénie par la nature de 75 ans ont aussi bénéficié de cette technique avec succès.
La technique s'est aussi améliorée, avec abandon du transporteur (scaffold) collagène (allergie et calcifications) pour la gélatine,
Notre série est certainement la plus grande et au plus long recul concernant le traitement par cellules souches d'arthrose grade 4 à très large taille, en miroir (condyle et tibia), et dont la somme des défects chondraux (perte de cartilage) pouvait atteindre jusqu'à 18 cm2.
Une nouvelle page de l'histoire de l'orthopédie est née: la chirurgie orthopédique régénérative. Le futur sera le choix pour le traitement de l'arthrose grave du genou entre: le régénération du cartilage avec une baisse ou disparition des indications des prothèses partielles du genou (PUC prothèse unicompartimentale), ou la prothèse totale de genou dans les cas graves ou de contre-indications liées au patient.
La communication officielle des résultats préliminaires en novembre 2013 au congrès de la Sofcot publiée sur ce site, a montré des résultats favorables avec repousse et bonne tenue du nouveau cartilage dans plus de 93% des cas. Les indications sont bien ciblées, adulte à bonne performance physique, et arthrose évoluée au stade terminale, touchant à la fois condyle et tibia (kiss lésion) d'un seul coté (interne ou externe), avec ou sans lésion rotulienne. Les lésions mécaniques doivent être corrigées dans le même temps (ostéotomie si désaxation de plus de 6°, reconstruction du ligament croisé si instabilité, réparation ou greffe de ménisque si absence. Performance physique, et âge aussi, jusqu'à 70 ans, et certaines personnes particulièrement bénie par la nature de 75 ans ont aussi bénéficié de cette technique avec succès.
La technique s'est aussi améliorée, avec abandon du transporteur (scaffold) collagène (allergie et calcifications) pour la gélatine,
Notre série est certainement la plus grande et au plus long recul concernant le traitement par cellules souches d'arthrose grade 4 à très large taille, en miroir (condyle et tibia), et dont la somme des défects chondraux (perte de cartilage) pouvait atteindre jusqu'à 18 cm2.
Une nouvelle page de l'histoire de l'orthopédie est née: la chirurgie orthopédique régénérative. Le futur sera le choix pour le traitement de l'arthrose grave du genou entre: le régénération du cartilage avec une baisse ou disparition des indications des prothèses partielles du genou (PUC prothèse unicompartimentale), ou la prothèse totale de genou dans les cas graves ou de contre-indications liées au patient.
Février 2014. Arthrose du genou et cellules souches: près de 4 ans d'expérience clinique
Depuis le début de l'essai clinique pilote autorisé par l'ANSM et le CPP en 2010, de traitement de l'arthrose du genou uniquement au stade terminal grade 4 avec disparition du cartilage, 50 patients ont été inclus dans cette étude, selon les critères d'inclusion de bonne performance physique, d'âge, et de restauration des troubles mécaniques du genou (désaxation, instabilité ligamentaire, reconstruction méniscale, raideur, rotule), avec 1 an minimum de recul (de 1 à 3,5 ans). L'essai clinique s'est terminé fin 2013, et les phases suivantes sont en cours, incluant plusieurs centaines de patients. Un nouveau protocole va être établi, avec études multicentriques sur plusieurs sites hospitaliers, et sur des comparaisons de groupes de patients.
La technologie de greffe de cellules souches, difficile, a été progressivement affinée et maîtrisée, et les bons résultats préliminaires ont été démontrés lors de la communication au congrès Sofcot de novembre 2013.
A ce stade de notre expérience, on peut déjà établir quelques grandes lignes:
le cartilage repousse, il suffisait de l'y aider, en un temps de 4 à 6 mois avec couverture mince du défect chondral au début; la régénération continue la 2è année avec amélioration de l'épaisseur; la restauration mécanique (désaxation, instabilité ligamentaire, ménisque, rotule) est indispensable, en 1 ou 2 temps; la durée de la rééducation est de 3-4 mois en moyenne; les indications de ce protocole cellulaire sont les mêmes que les indications de la prothèse partielle du genou, qui devrait à terme disparaître.
Il ne restera dans le traitement de l'arthrose grave grade 4 du genou que le choix entre la thérapie cellulaire cellules souches ou la prothèse totale de genou (si arthrose dépassée, patient âgé, mauvaise performance physique, ou souhait du patient).
Après une période d'apprentissage pendant laquelle le traitement se limitait à la greffe de cellules souches sous arthroscopie, dans les cas de genoux à bonne mécanique, la thérapie cellulaire a été étendue aux cas de désaxation, avec ostéotomie associée, et depuis peu, aux cas complexes d'ostéotomie avec reconstruction du ligament croisé et greffe cellules souches, ou encore greffe de ménisque et cellules souches, souvent chez des patients encore jeunes et sportifs.
L'aventure du progrès continue...
La technologie de greffe de cellules souches, difficile, a été progressivement affinée et maîtrisée, et les bons résultats préliminaires ont été démontrés lors de la communication au congrès Sofcot de novembre 2013.
A ce stade de notre expérience, on peut déjà établir quelques grandes lignes:
le cartilage repousse, il suffisait de l'y aider, en un temps de 4 à 6 mois avec couverture mince du défect chondral au début; la régénération continue la 2è année avec amélioration de l'épaisseur; la restauration mécanique (désaxation, instabilité ligamentaire, ménisque, rotule) est indispensable, en 1 ou 2 temps; la durée de la rééducation est de 3-4 mois en moyenne; les indications de ce protocole cellulaire sont les mêmes que les indications de la prothèse partielle du genou, qui devrait à terme disparaître.
Il ne restera dans le traitement de l'arthrose grave grade 4 du genou que le choix entre la thérapie cellulaire cellules souches ou la prothèse totale de genou (si arthrose dépassée, patient âgé, mauvaise performance physique, ou souhait du patient).
Après une période d'apprentissage pendant laquelle le traitement se limitait à la greffe de cellules souches sous arthroscopie, dans les cas de genoux à bonne mécanique, la thérapie cellulaire a été étendue aux cas de désaxation, avec ostéotomie associée, et depuis peu, aux cas complexes d'ostéotomie avec reconstruction du ligament croisé et greffe cellules souches, ou encore greffe de ménisque et cellules souches, souvent chez des patients encore jeunes et sportifs.
L'aventure du progrès continue...